La jeune elfe déposa délicatement Vérah dans son nouveau lit, mais la belle elfe resta à coté d’elle. En voyant la silhouette de Bido par la fenêtre elle se demanda ce qui pouvait bien se passer, est-ce qu’ils auraient vu ou trouvé quelque chose ou quelqu’un ?

« Dame Améiko, je ne pense pas que ce petit ait tué son chien, je pense plutôt qu’il aurait ramassé le couteau par curiosité et vous savez comme moi que les gobelins n’aiment pas les chiens. Il faudrait vraiment qu’Amèle et son fils passent une bonne nuit, ça leur feraient le plus grand bien, regardez Vérah comme elle est calme. J‘espère qu’ils ne vont pas tarder, j‘aimerais savoir si ils ont trouvés quelque chose mais je voudrais surtout qu‘ils soit tous sains et saufs. »

Méliandre mon amour, tu me manques, je ne peux pas m’empêcher d’avoir peur pour toi, je t’aime. La belle reposa son regard sur la petite fille qui dormait paisiblement, l’ensorceleuse ne put s’empêcher de sourire. Peut-être un jour que moi aussi j’aurais un bébé qui serait un mélange de notre amour.

«  Dame Améiko, est-ce que Madame Barnett veut sa fille auprès d’elle ? Ça ne me dérange pas de veiller sur elle.  »

Modifié par un utilisateur jeudi 19 juillet 2012 23:53:46(UTC)  | Raison: Non indiquée

Machinalement et presque malgré elle, la jeune elfe regardait les fenêtres des Barnett, la magicienne sursauta quand elle reconnu Méliandre, grâce à sa capacité de voir dans le noir, la belle elfe pu constater que son chevalier n’avait rien, pas de blessures apparentes. L’ensorceleuse s’était collée à la vitre pour mieux le voir, une fois les volets fermés elle regarda de nouveau Vérah toujours endormie.

Ouf mon amour est saint et sauf, je souhaite que les autres le sont aussi. J’espère qu’ils ne vont pas tarder. Ont-ils trouvé quelque chose ou quelqu’un ? Dort mon petit ange, profite bien de cette nuit.

« Dame Améiko, pensez-vous que votre tisane ait réussi a calmer Amèle et son fils ? Je le souhaite. A qu‘elle heure fermez-vous l‘auberge ? Je souhaiterais attendre nos aventuriers ici si vous m‘autorisez a rester dans la salle, sinon j’irais me coucher ? »

Méliandre mon amour, tu me manques, soit prudent, je t’aime. La magnifique elfe se remit a prier tout les Dieux et toutes les Déesses pour que les hommes puissent revenir tous sains et saufs. Surtout Méliandre.

Modifié par un utilisateur jeudi 19 juillet 2012 23:56:38(UTC)  | Raison: Non indiquée

En approchant de la porte du cellier, Orphilas ralentit son pas, écoutant si le moindre son provenait du sous sol.
Il n'y avait que peu de risque que la créature y soit encore, mais mieux valait être prudent.
Sa main toujours sur le pommeau de l'épée, il poussa la porte.

• Perception : 1d20+2 donne [14] + 2 = 16

Modifié par un modérateur mercredi 7 septembre 2011 07:01:12(UTC)  | Raison: Non indiquée

Les volets de la maison des Barnett étaient fermés, plus rien ne semblait bouger, la magicienne espérait le retour des aventuriers dans peu de temps. Que font-ils ? Plus rien ne bouge en face, ils devraient déjà être de retour. J’espère que tout va bien pour eux. Mon amour, tu me manques, j’ai peur pour toi. Et je suis sûre que Madame Barnett ne doit pas être rassurée sans son mari. J’espère qu’ils dorment tout les deux, au moins Vérah dort très bien.

La douce elfe reporta son attention sur le bébé, Qualindra souriait en l’entendant respirer calmement. Je crois que tu dois faire de biens jolies rêves, tu as bien raison, dort sans crainte ma petite Vérah, ton papa reviendra bientôt. Avec Méliandre et les autres je le souhaite, que faites-vous ?

Modifié par un modérateur mercredi 7 septembre 2011 07:00:25(UTC)  | Raison: Non indiquée

Se retournant vers Alergast, le jeune prêtre lui montra les soupiraux : « Regarde, Alergast, il est possible que ces créatures soient entrées par là pour te cambrioler. Mais comme le soupirail est en hauteur, ce n'est pas évident de repartir par là. Surtout s'il s'agit bien d'un gobelin : ces sales engeances, qu'Iomédaé les transpercent tous, sont courtes sur pattes. Tu sais ce que l'on t'as volé ici ? »

En remontant, il fit part de ses découvertes à ses deux compagnons. Si jamais ils convenaient tous d'attendre les créatures dans cette demeure, Orphilas était prêt à s'occuper du cellier, il savait quels bruits étaient normaux et quels bruits étaient suspects, et se sentait comme un compte à régler avec ces créatures qui avaient traumatisé son petit voisin et tué son chien. Tout en parlant, il était songeur : le cellier était fermé par un cadenas, avait dit Alergast. Ce qui voulait dire que les nuits suivantes, les gobelins étaient entrés par la chambre d'Aéren, et pas par le soupirail. Pourquoi ?

Modifié par un modérateur jeudi 8 septembre 2011 06:24:02(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Si vous savez où trouver un chien à cette heure, je suis d'accord avec votre idée ! Mais en vous attendant je reste ici pour surveiller au cas où cela reviendrait ! Ce ne serait pas de chance si cela revenait pendant que nous sommes allés chercher un chien. »

Sans attendre de voir ce qu'allaient faire Méliandre et Orphilas, Bido commença à reprendre une investigation dans la chambre, les dires du prêtre l'avait fait réfléchir. Il regarda sous le lit, puis sous les meubles assez grand pour dissimuler un passage. Il se doutait que ses nouveaux amis devait le regarder en ce demandant ce qu'il faisait alors il commença à parler tout en cherchant.

« Si nous partons sur l’hypothèse que la première fois que c'est venu ici, c'est passé par le soupirail ! Apres monsieur à mis un cadenas à la pièce ce qu'il à dut l’empêcher d'y retourner. De là cela à dut trouver un autre moyen d'entrer, voyant la chambre de l'enfant, cela à essayer par là ! C'est à ce moment que commence les cauchemars.  » Il s'arrêta quelques secondes fit un tour d'horizon de la pièce et regarda ce qui pouvait caché un passage assez gros pour un gobelin, il se dirigea vers l'armoire et regarda dessous, derrière, allant jusqu'à vider le contenu de celle-ci tout en reprenant la parole. « Ce manège dur plusieurs jours, cela voudrait dire que ça à dut trouver un moyen en passant par cette chambre ! Surtout si nous disons que c'est un Gobelin qui passe ses nuits ici ! Car quand ils ont mit le chien pour réconforter leur enfant ! Il à continué à venir et même tuer le chien ! Donc pour moi la clé est dans cette pièce ! »

• Perception : 1d20+7 donne [11] + 7 = 18

Modifié par un modérateur jeudi 8 septembre 2011 19:48:06(UTC)  | Raison: Non indiquée

Après quelques minutes, lorsque la belle elfe vit la porte s’ouvrir un grand sourire lui illumina le visage, le premier aventurier a paraître n’était personne d’autre que son chevalier, la jolie elfe couru vers lui et passa ses bras autour du torse en faisant attention de ne pas le toucher avec son bâton.

« Méliandre, mon amour, merci Dieux et Déesses tu es vivant. Es-tu blessé, mon ange ? Et les autres comment vont-ils ? » Demanda la jeune elfe un peu inquiète.

«  Avez-vous trouvé une personne ou quelque chose ? » L’ensorceleuse n’arrêtait pas de poser des questions, elle avait été tellement inquiète, qu’elle voulait tout savoir.

« Les minutes sans avoir de vos nouvelles me paraissaient une éternité. Vous rentrez a l’auberge n’est-ce pas ? » La magicienne ne put s’empêcher de déposer un doux et tendre baiser sur les lèvres de son fiancé.

« Plus jamais je ne veux te quitter, ni rester loin ou être séparée de toi mon cœur. » Murmura la jeune elfe au creux de l’oreille du jeune homme, elle lui déposa un autre baiser dans le cou avant de s‘écarter un peu de lui pour qu’il puisse lui répondre. Ses yeux émeraudes étaient maintenant plongés dans ceux du beau chevalier.

Modifié par un utilisateur vendredi 20 juillet 2012 00:03:47(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Tu n'es pas obligé de condamner tes soupiraux, Alergast. Mets simplement une grille, pour éviter que quelqu'un s'en serve. » Orphilas fut étonné par le manège de Bido, se glissant sous le lit et sous les meubles. Mais son cri de triomphe dissipa tout questionnement de la part du jeune prêtre.

Voyant la cache, sans pouvoir s'y faufiler, il demanda à l'acrobate. «  Est-ce que ce trou mène quelque part ? Est-ce que c'est une cache, ou un passage ? »

Puis, se tournant vers Alergast : « Tu disais que ton ciseau à bois avait disparu depuis quand ? »

Modifié par un modérateur samedi 10 septembre 2011 15:02:50(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Mon compagnon est bien nerveux ce soir. As-t-il détecté quelque chose ? Allons jeter un œil...  » Avélin se leva, enfila son armure, son manteau et pris sa serpe. Il descendit avec son compagnon.

Je me ferai bien accompagner, mais les chasseurs dorment à poing fermer ; quant à ceux qui ne dorment pas, ils ne sont plus très clairs. Pas question de patrouiller seul, je vais jusqu'à l'église discrètement ; à la moindre alerte je reviens.

Avélin sorti, fit signe à Cornio de ne pas aboyer. Il s'avança vers l'église, discrètement, vers un point éclairé.

• Dressage : 1d20+3 donne [18] + 3 = 21

Modifié par un modérateur dimanche 11 septembre 2011 17:09:17(UTC)  | Raison: Non indiquée

Chez les Barnett
« J'en ai plusieurs de ces outils donc il a pu être pris avant mais je m'en suis rendu compte seulement hier. » Répondit Alergast.

Tous les trois ils essayèrent ensuite de bouger la lourde armoire. L'ébéniste n'avait pas fait les choses à moitié, elle était tout en chêne si bien qu'on pouvait se demander comment il avait fait pour la monter jusque là. En l'écartant du mur ils se rendirent compte qu'effectivement une cache y avait été creusé pour agrandir l'espace entre le mur et l'armoire et sans doute s'y cacher. L'espace était toutefois restreint et on voyait mal comment un gobelin pouvait s'y introduire. Même Bido le plus petit du groupe ne le pouvait pas. C'était encore quelque chose de plus petit ! Pourtant Aéren était terrorisé parce qu'il voyait une de ces créatures. Le mystère était éclaircit mais pas en totalité.

Vers le Cerf Blanc
Les deux amoureux remontaient la rue principale d'un pas rapide. Il ne leur fallut pas longtemps même dans la semi-obscurité pour arriver dans la partie hautes de la ville en se laissant guider par la cathédrale. Quelqu'un traversa la rue au moment où ils arrivaient pour regagner l'auberge. Au vue de sa taille c'était un nain et il était accompagné d'un chien qui s'arrêta net au moment où il s'aperçut de la présence de Méliandre et Qualindra. Des volutes s'échappaient de ses naseaux à cause du froid...

Avélin n'avait rien remarqué au dehors, ce qui ne voulait pas dire qu'il n'y avait rien et depuis qu'il avait appris que l'on avait dérobé un cadavre dans le cimetière jouxtant l'église, le nain allait souvent de ce côté faire une petite ronde. Depuis qu'il avait rendu service le jour du festival et que son chien avait littéralement déchiqueté un gobelin qui s'en prenait à des festivaliers, le chasseur avait apprécié l’accueil et l'hospitalité des habitants de ce bourg côtier. Il avait le vivre et le couvert dans la meilleure auberge de la ville en échange de quelques lièvres et en plus de cela il pouvait parfaire ses connaissances de la nature et voir enfin la mer, découvrir les embruns et avoir une nouvelle approche d'une nature qu'il ne connaissait pas... Quoi rêvé de mieux avant de reprendre la route ?!

Le nain remarqua alors que Cornio s'était arrêté et que deux personnes remontaient la rue principale...