odh se concentra et tenta de neutraliser temporairement l'une des mites à l'aide d'un sort qui la déconcentrerait quelques instants. Mais l'ignoble fée bleue sembla totalement hermétique à la magie du jeune homme.

Aya de son côté tenta de s'en prendre à la grosse mite qui avait tenté de larder Jordi Mermont d'acier, mais son corps inhumain ne s'étira pas assez vite et la mite esquiva sans mal son attaque maladroite, envoyant même Aya heurter le mur de l'épaule d'un revers du manche de son arme.

Modifié par un utilisateur vendredi 31 juillet 2015 09:22:49(UTC)  | Raison: Non indiquée

ostin entendit les indications de Jodh et les confirma : Tenons nos positions cria-t'il tandis qu'il abattait sa lourde lame sur la mite la plus proche, l'envoyant au sol dans une impressionnante gerbe de sang.

Les deux fermiers qui avaient accompagné les miliciens enclenchèrent le mécanisme de leurs arbalètes. Si Ald Blecsen manqua totalement son tir, Mar Jordim fit mouche et toucha en pleine poitrine la mite musculeuse qui se trouvait devant le gigantesque mille-pattes. La mite s'effondra, et le chef des mites hurla de rage.

L'énorme mille pattes qu'il chevauchait dodelina une fraction de seconde de la gueule avant de projeter celle-ci sur Jordi Mermont pour le mordre. Le bouclier du milicien arrêta de justesse l'attaque du monstre, qui rétracta son cou, mais juste après, la queue du monstre jaillit des ténèbres et toucha le milicien aux jambes, l'envoyant valser au sol dans un bruit de ferraille et un cri de surprise.

Modifié par un utilisateur lundi 24 août 2015 14:35:00(UTC)  | Raison: Non indiquée

La mite qui c'était exposé le paya de sa vie. Elle n'eut pas la chance de la dernière foi, et Aya savait profiter de ce genre d'opportunité que pouvait laisser un combat. Étirant son corps pour le saisir a la gorge, ramenant même le corps a coté d'elle avant de le jeter au sol ce corps sanguinolent.


Jodh quand a lui ne put qu'observer son collègue d'aventure prendre feu sous ses yeux. Heureusement que ça ne semblait pas mortel, du moins, pas pour le moment. Il fallait réagir rapidement! Aya, occupe toi de celui-là. MAINTENANT! Cria-t-il en pointant du doigt le chef des mites. Commençant a prononcer clairement une incantation magique. Un bon sort de graisse au milieu de tout le monde, on va voir s'il a autant de verve une foi les quatre fers en l'air celui là!





Sort de graisse Sur la zone en jaune. (En gros sur le gros-mille-pattes a gauche. DD17 pour ne pas se retrouver au sol pour tout ce qu'il y a dedans.

Modifié par un utilisateur mardi 1 septembre 2015 16:33:55(UTC)  | Raison: Non indiquée

Terrifié par les transformations monstrueuses dont était capable le corps d'Aya et par la cruauté redoutable des attaques par lesquelles elle se transfigurait, Lyod ne put s'empêcher de plonger quelques secondes dans une fascination morbide, obnubilé par les mille dents de sa gueule cauchemardesque, tandis que la bataille se poursuivait de tous côtés. Le fracas des lames se faisait entendre devant et derrière lui, ponctué des gémissements de ses amis comme de ses ennemis sous l'effort physique que requérait le maniement des armes, et parfois accompagné du choc discordant du métal contre la vieille pierre du caveau que les torches éclairaient d'une lumière vacillante, sépulcrale. Sang, feu et hurlements jaillissaient de toute part, dans une symphonie chaotique, et c'est dans cette situation que le jeune homme se surprit plongé dans la torpeur étrange et songeuse qu'avait suscitée en lui la sœur démoniaque de Jodh. Le tacticien se ressaisit tout de suite, et par bonheur le temps écoulé ainsi lui avait paru beaucoup plus long qu'il ne l'était en réalité, mais il comprit - à juste titre - que la fatigue commençait à s'emparer de son esprit, et sa concentration à le quitter.

Ce n'était pas le moment. La vie de ses compagnons et de bien d'autres innocents était en danger. Ce qui se passait ici et maintenant comptait plus que tout, et son corps (ou son intellect, peu importe) n'avait pas le droit de l'abandonner dans une telle situation. Comment était-il possible que son imagination parvienne ainsi à se détacher de sa volonté en un moment aussi crucial ? L'oisiveté et la faiblesse des capacités mentales des êtres humains étaient-elles donc si grandes ? Était-il si facile à la paresse et au sommeil de s'emparer même du plus valeureux et déterminé des combattants ? C'était comme une brume douce et mortelle, une sorte d'anesthésie, par laquelle sa psyché s'était pour un instant interminable évadée et protégée de l'urgence de la réalité ; peut-être un mécanisme naturel, sursaut soudain d'indifférence à l'échec et au trépas, d'indifférence oublieuse de tout et surtout d'elle-même. Comme si, dans l'incapacité d'analyser la tempête environnante et de la contrôler avec sa précision habituelle, l'intelligence de Lyod s'était temporairement exilée, dans une absence et un repos autodestructeurs.

Mais si cet instant était interminable, c'était aussi que la concentration du stratège, revenue de sa brève vacance, était à nouveau présente entière, régénérée. Pour le meilleur et pour le pire, le temps s'était arrêté pour lui ; il avait désormais une vision très claire de la bataille. Il le voyait à présent : tout se déroulait d'une façon mécanique, comme les engrenages d'une horloge parfaitement huilée ; à l'estoc répondait la taille, à la feinte faisait écho l'esquive, et chaque combattant ployait d'avant en arrière, de gauche à droite, de vie à trépas, comme dans une chorégraphie parfaitement liée, comme un seul organisme dansant et se débattant, comme un tout vivant et un grand tableau dont les lignes se croisaient selon des règles géométriques désormais évidentes. Lyod n'était plus qu'anticipation.

Et alors que dans un éclair sa pensée faisait un tour, voici les gestes simples qu'on le vit accomplir. Il cligna des yeux. Il se redressa. Son expression s'affermit. Et, enfin, il cria ses instructions avec sûreté et sang-froid, accompagnant de la voix comme d'une main invisible le bras de ses camarades, tellement en symbiose avec eux que lui-même ne put distinguer ses paroles de l'ordre le plus naturel du combat.


Action simple pour re-déclencher les commandes inspirantes. +1 aux jets de sauvegarde contre les effets de terreur et de charme et +1 aux jets d'attaque et de dégâts avec les armes pour tous les alliés qui peuvent entendre Lyod.

Action de mouvement pour aider Aya à esquiver la prochaine attaque du mille pattes gigantesque ; si succès (résultat > 10), +4 à la CA contre cette attaque, et même si échec, +3 aux jets de sauvegarde pour le tour. Si jamais il se trouve que le sort de graisse empêche en fait le mille pattes d'attaquer, j'utilise plutôt ce jet pour aider Mar Lordim à tirer sur lui, auquel cas il gagnerait +8 au jet d'attaque en cas de succès (seulement +3 en cas d'échec).

• Aider Aya : 1d20+7 donne [14] + 7 = 21

Modifié par un utilisateur samedi 12 septembre 2015 02:49:10(UTC)  | Raison: Non indiquée

e combat faisait rage entre les humains, leurs alliés et les mites. Et si ces dernières tombaient les unes après les autres, leur combativité n'était pas émoussée, leur chef se battait à leur tête.

Mais les humains n'étaient pas en reste. Obéissant aux ordres de Lyod, les pointesablois tenaient parfaitement leur position défensive avantageuse. Chacun se tenait prêt à frapper ce qui se présentait à sa portée.

L'une des mites sortit d'ailleurs bientôt du couloir Est en bousculant ses congénères et en brandissant une sorte de hachette acérée qu'elle tenta d'abattre sur Pelic Mermont, mais la lame de Tihelilo la cueilli bien avant et l'envoya au tapis avec une profonde blessure à la tête.

De l'autre côté du champ de bataille, les mites tentèrent d'aider le mille-patte gigantesque à se relever, en vain, leur aide s'avérant trop insignifiante pour l'énorme vermine.

Le chef des mites, gravement blessé par Aya se mit sur la défensive et prononça une courte incantation chargée de haine, mais un coup de griffe d'Aya dans le vide lui fit perdre sa concentration et rater le lancement de son sortilège dévastateur.

Si le pire semblait avoir été évité sur le front Ouest, le front Est voyait les mites surgir encore du couloir avec la ferme intention de découper les humains en rondelle. Le mille-patte de grande taille qui s'en prenait à Tihelilo mordit à nouveau la maille du semi-elfe sans parvenir à le blesser, mais la mite qui se trouvait à l'entrée du couloir lança encore son arme sur Pelic Mermont, buttant sur l'écu en acier du milicien dans un bruit très violent. Profitant de ces passes d'armes, une grosse mite se faufila et tenta de larder Tihelilo d'un coup de taille de sa lourde épée à deux mains, mais elle fut reçue par les coups de Tihelilo et Pélic. Si l'humain ne lui égratigna qu'à peine l'épaule, le semi-elfe lui défonça le crâne et la grosse mite s'effondra sans parvenir à porter le moindre coup.
Plusieurs cadavres de mites reposaient désormais dans le petit espace entre les deux miliciens et Kostin, témoignant de leur valeur au combat.
Alors qu'il esquivait un nouveau coup du mille patte, Tihélilo s'aperçu trop tard que la mite qu'il venait d'abattre était suivie par une autre qui lui asséna un coup d'épée à la taille. Heureusement, le demi-elfe fut sauvé par ses réflexes et esquiva de peu la lourde lame.

Modifié par un utilisateur lundi 14 septembre 2015 15:05:57(UTC)  | Raison: Non indiquée

Passage en mode cinématique

e puissants coups de griffes, Aya déchiqueta le chef des mites, l'éventrant et répandant ses entrailles bleuâtres sur le sol antique de cette cave thassilonienne.



Empêtré dans la graisse invoquée par Jodh, le mille pattes gigantesque lutta, mais fut rapidement mis à mort par quelques coups puissants. Démoralisées par la mort de leur chef et le grand nombre des leurs déjà tombées, les mites restantes offrèrent une résistance de principe avant de tenter de fuir, et d'être finalement acculées et massacrées par les miliciens. Seules une ou deux blessures superficielles supplémentaires furent à déplorer, les mites désespérées ne parvenant pas à asséner de coups suffisamment puissants pour tromper la défense et les armures des miliciens.

C'est au beau milieu d'un petit champs de cadavres bleus au visage ingrat que les miliciens purent faire l'inventaire de l'arsenal ennemi et explorer un peu plus en détail les lieux.
Si les armes des mites ne semblaient pas particulièrement intéressantes, la fouille des cadavres révéla un parchemin (mains brûlantes nls4) et deux potions (agrandissement et soins légers).

Les lieux se révélèrent avoir été bâtis selon les techniques architecturales thassiloniennes pour autant que Lyod pouvait en juger et des runes thassiloniennes pouvaient en partie s'apercevoir à certains endroits.

Modifié par un utilisateur mercredi 16 septembre 2015 14:17:42(UTC)  | Raison: Non indiquée

Jodh ne pu que constater la force et l'envie meurtrière don Eidolon. Faut dire qu'il n'était pas habitué ce genre de scène. Un peu plus et il tournait de l’œil il faut avouer. Néanmoins la bataille fut en leur faveur et les mites avaient toutes été vaincu. Une bonne chose de fait il parait. Après tout, elles étaient mauvaises, non? Allez savoir.

L'invocateur préféra rapidement s'occuper d'Aya que de se poser mile et une question sur ce qui venait de se passer. Il écoutait d'une oreille ce que Lyod pouvait dire, mais tout ce qu'il voulait c'était sortir d'ici. Hors de cette grotte qui n'était plus qu'un tombeau, qu'importe ceux qui avaient bien pu construire ça.
"Aya, vient par là s'il te plait." Il sortie un mouchoir pour essuyer le sang qu'il y avait sur sa peau blanche. Par chance elle n'avait pas été touchée. "Tu as vue ça?!" "Oui oui." La réponse était juste une réaction machinal tout en l'essuyant. "Je suis trop forte! Invincible! QU'ILS VIENNENT CES..." "Arrête!" Le ton fut court et sec. L'invocateur n'aimait vraiment pas se battre, et encore moins mêlé Aya a tout ça. Bien qu'elle était fait pour ça, c'était dans son code, dans son être. Il n'aimait pas ça. "Tu me laisseras tes affaires que je puisse enlever tout ce sang..." Chose étonnante, elle ne dit rien. Les cas où Jodh se montrait dur était rare.

Nooon, bien évidemment qu'elle n'allait pas se taire. "La prochaine foi je devrais peut être les laisser te manger une ou deux phalanges. Tu seras peut être un peu plus reconnaissant!" C'est après un lourd soupire qu'il se tourna vers Lyod. "Je vous suis camarade. Je pense que vous avez raison, ne laissons pas notre mission trainer. Puis j'ai aucune envie de rester ici." Au milieu de ce charnier infect.

Laissant Aya derrière lui, il entreprit de monter les escaliers pour retrouver la lumière extérieur. Au moins il y aurait peut être une petite brise pour le remettre d'aplomb pour la suite.

Jodh écouta d'une oreille distraite ce qui se disait autour de lui. Enfin, il tentait surtout d'oublier ce qui venait de se passer. Ils étaient mauvais hein ? Forcement, puis c'était les mites ou eux de toute manière. Il s'éloigna un peu du groupe, pour prendre l'air. Il avait au moins eut la chance de ne pas être blessé lui. Aya quand à elle sortie tranquillement des catacombes, presque joyeuse du travail accompli les griffes recouvertes du sang de ses victimes. Avant de se faire interpeller par Kostin qui lui demanda de prendre le rôle d'éclaireur. « Non ! » Au moins c'était clair, net et précis. Et Sans lui donner plus d'explication elle le laissa en plan pour rejoindre son invocateur.

Pas la peine de décrire de façon exhaustive leur conversation. On peut facilement deviner que Jodh n'a pas tellement aimé ce qui c'était passé, et qu'il fallait bien retirer le sang du visage de son Eidolon.
Après quelques longues minutes ils revinrent vers le groupe qui était sur le départ. L'homme partie directement vers son cheval alors qu'Aya s’arrêta a coté de Kostin. « Je ne le laisserais pas seul, trouve quelqu'un d'autre. » Avant de continuer son chemin pour se coller derrière son invocateur sur le canasson.


Quand la nouvelle ferme fut a porté de regard, il demanda a Aya de remettre la cape avec la capuche. Pas la peine de faire peu dés le début a tout le monde avec ses habits ensanglantés, et autres parties de sa peau qui portaient encore du sang séché.
Au moins les hommes avec les mulets étaient arrivé a bon port. Il les salua de la tête avant d'écouter la bonne femme qui se lamentait déjà. « Veuillez m'excuser de vous demander ça si rapidement, mais auriez vous quelques couches ? Au moins pour nos plus grands blessés je vous prie. » Il fallait au moins que ces derniers ce repose.
Il fit descendre Aya avant de la suivre pour atterrir sur le sol si stable. « Pourriez vous aussi demander a tout le monde de se réunir ? Que nous puissions vous exposer les dernières nouvelles et la raison de notre venu s'il vous plaît ? » Autant regrouper tout le monde comme précédemment. Avec de la chance, se serait beaucoup plus calme cette fois.

Lorsque Kostin fit montre de son légendaire dévouement en proposant de rester avec les miliciens puis en se proposant comme éclaireur, Lyod lui répondit avec des remerciements sincères et encourageants, de frère d'arme à frère d'arme, rendant ainsi le compliment de son nouvel ami. « J'espère que je vous reverrai, à Pointesable ou ailleurs, lorsque votre travail aux fermes sera terminé. C'est un honneur d'avoir combattu à vos côtés. » Puis, marchant avec le groupe en direction du prochain village, il engagea la conversation avec lui, semblant assez confiant quant à la suite des événements, et profitant de ces instants pour aider ses alliés à se détendre.

Lorsqu'ils arrivèrent, il laissa Jodh prendre la parole le premier, et acquiesça à ses dires, appréciant la façon dont il avait géré la situation - évitant les rumeurs et les paniques en réunissant d'emblée tout le village. Il participa avec lui aux discours importants qui devaient se dérouler pour informer les paysans ; puis, lorsque ce fut fini, il répondit de façon rassurante à Happog : « Oui, je le pense sincèrement. Si nos seuls ennemis restent les mites et les gobelins, nous tiendrons. La stratégie de Pointesable est la bonne, et je veillerai à ce qu'il en reste ainsi. » Le stratège ne le dit pas, mais il s'inquiétait toutefois sur les causes de cette guerre. Les événements récents étaient inhabituels, presque inexplicables ; il semblait évident que d'autres ennemis que les mites et les gobelins les attendaient dans l'ombre. Mais qui ? Cela, il leur faudrait certainement le découvrir pour mettre un terme définitif à ces violences...

Finalement, lorsque tout le monde fut prêt, Lyod annonça que le groupe pouvait partir et poursuivre son chemin vers la ferme suivante. Il valait mieux ne pas perdre de temps : un long chemin les attendait encore...

Modifié par un utilisateur jeudi 1 octobre 2015 03:01:07(UTC)  | Raison: Non indiquée

Durant le voyage, Jodh resta un peu a l'écart tout seul avec sa monture. Enfin tout seul... Il faut pas oublier l'invocation plutôt bavarde qui parlait pour deux. Si lui trouvait le voyage plutôt intéressant. En même temps il ne sortait pas beaucoup, elle c'était la grande découverte de tout. L'arrivé devant la grande tête sans son corps en était en beau exemple. "Waaaaaaaah. Tu crois qu'il y a vraiment eut une statue sous cette tête? Qui a bien put faire ça? A quoi ça sert? Tu crois qu'on peut monter dessus? Est-ce que... Puis qu'est-ce qu'il dit celui là? Rien compris." Au moins ça avait eut le mérite de la faire taire. Puis c'est qu'il ne saisit pas non plus tout ce qu'il était en train de baragouiner.

"Euh... Non-non nous ne venons pas pour votre.... Potager Monsieur." Jodh prit quand même le temps de descendre de sa monture. Laissant Aya capuche baisser prendre son contrôle. "Puis je vous rassure, la ville tient toujours debout." Histoire aussi de dissiper un malentendu. "Mais nous nous contentons d'un petit lopin de terre pour y mettre nos tentes. Par contre, pourriez vous réunir les occupants des lieux? Il y a un problème dont on aimerait vous faire part, c'est la raison de notre présence ici."

Il pourrait une nouvelle foi leur présenter le problème des gobelins, mais aussi en même temps demander s'ils avaient un indice, s'ils avaient vue une elfe passé ici. Apparemment jusqu'ici c'était choux blanc. Qui sait? De toute manière il n'était pas prêt de baisser les bras.