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La soixantaine de personnes présentes dans l'auberge réagissent de manière clivée à la proposition d'Owen. Un groupe de personnes - majoritairement des mineurs - ayant le pris le nom de Montagnards proteste qu'ils n'ont pas barricadés l'auberge sans raison, et qu'ils sont prêts à en découdre avec la garde. La majorité reste cependant du côté des Héros, et devant leur incapacité à fédérer les autres, une dizaine de Montagnards quitte l'auberge.  Laetitia Alors qu'Owen revient vers les autres, une personne que vous aviez vu passer d'un groupe à l'autre, plus attentive qu'expansive, vient vers vous. « Vous avez eu raison, dommage que ces gens ne l'aient pas entendu de la bonne oreille. Je suis persuadée que tout va bien se passer. Sachez qu'il y a dans la garde des gens qui vous soutiennent. Maintenant excusez-moi, j'ai une affaire urgente qui réclame mon attention, mais on se reverra tout à l'heure si vous le souhaitez. » Et sans même laisser vous laisser le temps de lui répondre, elle quitte l'auberge.  Žarko Črnjak Ascensionniste Žarko revient vers vous, l'air surpris. « Elle a l'air bizarre, cette femme. En tout cas, d'après ce que je sais, la personne qui va mener la troupe ce soir est Zuss Nusomrar, un officier elfe. Il a servi dans l'armée qui a repoussé les quelques forces Chelaxiennes lorsqu'elles ont tenté de réprimer la révolution. C'est un fervent partisan du Peuple Libre, il siège même au Conseil à Almas parfois. Il est extrêmement populaire, sur un champ de bataille comme dans les villes, vous allez devoir la jouer fine contre lui. » | |
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 Raargal Cinderhand Fatigué CA:14/ DMD:11 Neutre Focalisation 1/1 Raargal constate que sa décision était la bonne, du moins, pour le moment. Il écoute attentivement la nouvelle venue, qui dit les soutenir, mais qui ne s'est pas présenter, puis Žarko qui viens les prévenir de qui dirige l'opération. « Voilà qui, au contraire, arrange nos affaires. Un ex-révolutionnaire, qui a combattu pour le peuple. Il suffit qu'Alyssa le convainc qu'il n'a fait qu'échanger un tyran contre un autre et que la lutte n'est pas fini. Par contre, sais-tu qui est la femme qui viens de quitter l'auberge après nous avoir parlé? Elle ne s'est pas présenté, mais dis nous soutenir. Alyssa, Chrysopélée, nos espoirs sont sur vos épaules. Je connais des sorts qui auraient pu vous aider mais... Je me suis préparé en vue du sauvetage de demain, donc... il ne faut pas compter sur moi ce soir... Sauf si vous avez besoin de cramer quelque chose, mais dans l'idée: c'est pas l'idée. » | |
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 Alyssa Pacifiste? CA:13/ DMD:15 Chaotique Bon Représentation : 6/9 Alyssa observe en coin la jeune femme ayant pris la parole. Mhm.. Comment prendre ces informations? Zarko s'exprime ensuite, laissant transparaître à haute voix les doutes qui ne parvenaient pas à trouver leur chemin dans la gorge d'Alyssa. Bien.. Au moins je ne suis pas folle. Elle laisse parler Raargal tout en observant Owen, puis Chrysopélée, puis la foule en proie au doute. « Bien sûr. C'était le plan. S'ils ne te volent pas ta mandoline avant, pourrais-tu me donner un petit coup de pouce encore une fois, camarade? » lance-t-elle à Zarko, dans l'oeil une petite pépite allant de taquinerie à inquiétude. « Si personne n'a rien à ajouter, je pense qu'il est temps de mettre à l'épreuve la ferveur de l'ascension. J'aurais aimé qu'Althéa soit de la partie, elle aurait pu nous aider et être un argument de poids pour la cause de ces braves gens. » Le Baptème du feu, hein?.. Il va falloir la jouer fine, avec cette histoire de prophétie..
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 Owen Isha Soupir CA: 16 - DMD:15 Loyal Neutre Owen soupir en descendant de sa table, voyant la troupe de dix montagnards partir... Silencieuse, elle observe la nouvelle personne se présenter et partir aussitôt, ainsi que Zarko les prévenir de la menace à venir. La dhampir se tourne vers Alyssa : « J'espère qu'Althéa n'aura pas de problèmes avec ce Dario... » Elle souffle par le nez. « Ouais, allons se mettre en place. »Elle fait des signes aux révolutionnaires de la suivre en dehors de l'auberge, pour exécuter le plan. Modifié par un utilisateur dimanche 24 juin 2018 17:00:52(UTC)
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Orégent, Place de la Grève La foule suit le plans des Héros de l'Ascension, certains vont chercher du renfort, d'autres... voient leur résolution fléchir au dernier moment, l'idée d'affronter un escadron mené par le Conseiller Nusomrar en personne, et d'en plus les laisser porter le premier coup, suffit à les décourager quelque peu. Mais c'était attendu, et cela n'entame en rien l'enthousiasme de ceux qui restent, et de ceux qui affluent. Des feux sont allumés, pour se réchauffer et pour y voir, et Zarko circule dans les rangs en jouant des accords guerriers, avant de se rendre compte que l'humeur n'y est pas, et de jouer des petits airs populaires. Au bout de quelques minutes, pendant lesquelles les révolutionnaires tâchent de discuter comme si de rien n'était, pas exorciser le démon de l'attente et de l'appréhension, des Orégentais arrivent en courant et hurlant « La garde ! La garde arrive ! » mais on leur explique que tout est sous contrôle.  Zuss Nusomrar "Démocrate" Et de fait, quelques instants après, vous entendez la garde arriver. Le bruits de semelles et de sabots ferrés frappant le pavé en cadence. Le bruit de l'Ordre en marche. La troupe est maintenant visible, elle est menée par cinq dragons, ces cavaliers lourdement armés qui combattent à pied, mais qui utilisent leurs chevaux pour arriver en forme au combat. Vous dénombrez trente soldats en cuirasse, un tiers avec des arbalètes lourdes, les deux tiers avec épée et bouclier. De votre côté, vous estimez être un peu moins d'une centaine. Si le combat devait éclater... Mais en vous voyez tous et toutes assis, l'officier demande l'arrêt de la troupe. Tous ont l'air surpris et désemparés, sauf un dragon, qui sourit de bon coeur : c'est Althéa. L'elfe prend la parole d'une voix forte de tribun qui résonne sur les murs de la place. « Citoyens ! Votre rassemblement trouble l'ordre publique, et est contraire à la Volonté du Peuple Libre. Quant à celles et ceux parmi vous qui ont déserté leur travail, et qui ont pris des outils qui ne leur appartiennent pas, en plus des charges d’insurrection sera contre eux le vol en réunion. Je suis prêt à écouter personnellement ceux qui se rendent, et à adresser leurs requête au Conseil d'Almas, mais quoi qu'il en soit, votre groupe criminel s'arrête ici. »Il ponctue sa dernière phrase en dégainant son épée et en la pointant vers le ciel, et vous sentez un mouvement de recul de la foule entière, comme s'ils avaient craint un instant que son épée allait lancer des éclairs. Cependant, l'elfe ne donne pas l'ordre de charger.
Laetitia Un reflet lumineux de la lune attire ton regard vers une ruelle. Les montagnards se groupés là, des bouteilles à la main. Tu reconnais la forme typique d'un feu grégeois, et au moment où tu t'apprêtes à paniquer, tu les vois tomber comme des mouches, et tu distingue derrière eux la silhouette de la femme mystérieuse, qui te fais signe que tout va bien.
La réaction des soldats est évidemment très variée, certains sont déçus, d'autres attendent les ordres, mais une petite dizaine semblent rassurés.
Modifié par un utilisateur dimanche 24 juin 2018 17:31:14(UTC)
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 Chrysopélée Fatiguée CA:15-DMD:12 Neutre Bon Représentation 8/8  Aurore Se repose CA:16-DMD:14 Chrysopélée soutint mentalement Owen lorsque cette dernière s'adressa aux révolutionnaire et leur parler de la méthode pacifique proposée par le magicien du groupe. Mais elle fut un peu triste en apprenant que certains des révolutionnaires ne voulaient pas se joindre à eux pour cette partie. Elle ne tenta néanmoins pas de les retenir de partir et les laissa filer. Pourquoi vouloir absolument en découdre ? Ça ne ferai que confirmer les craintes de ceux qui sont effrayé par la révolution. Et cela n'apporterai que morts et désolation, ce qui ferai évidement le jeu du Consortium qui pourrait arguer de la protection qu'ils apportent à Orégent... Elle écouta ensuite la jeune femme qui s'adressa à eux en les complimentant sur leur plan. et bien, au moins quelqu'un qui apprécie... Son regard se posa sur le reste du groupe qui les soutenait. Bon au moins elle n'est pas toute seule il semblerai ! C'est bien, restons unis. Ses yeux passèrent sur la porte d'où était partie la jeune femme. Bon.... Mais c'est qui en fait ? L'intervention suivante de Zarko sembla lui prouver qu'elle n'était pas la seule à ne pas savoir qui c'était. « Si c'est un partisan du peuple libre, il lui sera difficile d'attaquer des gens assis non ? Il passerai alors pour un officier sanguinaire et donc perdrai la sympathie d'une partie du peuple... Je suis d'accord avec toi Raargal, il pourrait sûrement nous rejoindre. Nous allons bien voir. »Elle acquiesça ensuite en direction d'Owen. « Oui allons donc nous mettre en place. »Chrysopélée se mit alors en place avec les autres sur la place. Elle tenta malgré la fatigue d'améliorer le moral des citoyens qui étaient avec eux. Mais pour elle aussi l'incertitude était forte. Ainsi que le doute sur ce "Zuss". Qui était-il ? Les autres avaient-ils raison de croire en lui ? Ne soutenait-il pas le Consortium en étant membre de la garde ? Qu'allait-il donc se passer ? L'attente fut longue mais au bout d'un moment, la garde arriva et Chrysopélée en fut presque soulagée. Bien, plus de retour en arrière possible, ça passe ou ça casse.... Elle regarda la garde qui arriver, les dragons, les soldats en cuirasse.... Et sourit en reconnaissant Althéa. Bon et bien au moins un soutient dans cette troupe ! Par contre, nous avons bien fait de ne pas les attaquer...Elle jeta un coup d’œil à ses compagnons de sit-in. Je doute qu'ils puissent affronter la garde tout seuls... Elle sentit un sentiment mêlée de peur et d'excitation monter en elle, comme à l'aube d'une bataille décisive. Allez ! Ce n'est pas le moment de perdre courage Chrysopélée ! Elle écouta ensuite Zuss parler et fronça les sourcils. Le peuple libre ? C'est gens ne font-ils pas partit du Peuple Libre. Il ne semble pas vraiment enthousiaste à l'idée de nous laisser continuer... Que veut-il en fait ? Elle se leva alors et prit la parole regardant droit dans les yeux Zuss et levant les mains pour montrer qu'elle ne portait pas d'arme. « C'est au nom du Peuple Libre ici rassemblé que je vous parle. Pourquoi donc agissons-nous de la sorte ? Pourquoi tous ces gens se sont-ils soudain rebeller contre l'ordre établis ? Pourquoi ne veulent-ils plus continuer dans le sens qu'avait prit leur vie ? Je vais vous le dire ! Parce que nous n'en pouvons plus ! Parce que nous ne sommes pas libre ! Le soi-disant Conseil d'Almas est bien trop loin d'ici et ne s’intéressent pas à ce que subissent les petites gens par ici. Le Consortium que vous défendez par vos actes n'est pas seulement un pourvoyeur d'emplois sous-payé. Non. C'est aussi un dictateur qui ne se prive pas d'exploiter ses ouvrier pour le gains d'argent. C'est un opresseur qui n'hésite à corrompre et acheter pour pouvoir mener à bien ses actions. Soyons réaliste ! Ouvrons les yeux ! Regardez autour de vous ! Regardez ces maison ! Regardez ces rues ! Regardez ces toits ! Regardez-les ! Regardez ceux qui y vivent ! Regardez-les survivre ! Regardez leurs difficultés ! Regardez leur pauvreté ! Trouvez vous normal que d'aussi dur travailleur qu'eux ne puisse pas vivre simplement dans la dignité due à chaque être ? Ne pensez-vous pas qu'il méritent mieux ? Et bien nous oui. Nous pensons que le monde peut évoluer, devenir meilleur. Nous pensons que la misère et l'injustice ne sont pas incurable. Nous pensons que nous pouvons rendre les choses meilleures. Nous pouvons nous relever et redresser la tête ! Nous pouvons regarder au-delà du jour même, vers une vie meilleure, pas seulement pour nous mais aussi pour nos enfants et les enfants de nos enfants ! Et c'est ce qui nous motive ! Justice ! Liberté ! Dignité ! Et nous ne reculerons pas. Non. Nous dresserons jusqu'à ce que tous puissent se dire avec fierté qu'il existe réellement et dignement. Que tous puissent travailler sans avoir peur de ce qui pourrait arriver à leur famille s'ils expriment leur opinion. Que tous puisse regarder droit devant eux avec l'assurance d'être encore demain. Aussi nous ne cesserons notre combat que lorsque le Consortium sera parti et que tous ensemble nous puissions bâtir un monde meilleur ici, pour vous, pour nous, pour tout le monde ! Venez ! Libérez-vous de vos chaînes ! Faisons tomber ensemble le Consortium, Construisons ensemble un monde meilleur. »Chrysopélée repris son souffle et repris. « Nous ne voulons pas nous battre. Nous sommes pacifique. Aussi nous resterons assis ici. Vous qui vous qui avez combattu l'empire de Cheliax, pensez-vous qu'une nation libre attaquerai des citoyens assis et pacifique ? »Sur ces mots, elle se rassit au milieu de tous et croisa les bras déterminée. - Perception : 1d20+3 donne [7] + 3 = 10
- Psychologie : 1d20+1 donne [5] + 1 = 6
Modifié par un modérateur dimanche 24 juin 2018 21:40:34(UTC)
| Raison: Non indiquée | On ira, on verra, et on commencera une révolution parce que c'est franchement pas beau. |
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Raargal Cinderhand Fatigué CA:14/ DMD:11 Neutre Focalisation 1/1 Raargal ne dis rien, ne fait rien d'autre que d'être assis, dans la foule. Il voit bien qu'Althéa est ravi que les convictions des héros sont bien réelle, et que les soldats douteux. Tout se déroule comme prévu, ne reste donc qu'a voir la réaction de Zuss: l'inconnu du plan. Aller, nous avons de bon orateur, Chrysopélée a fait un bon discours. Si Alyssa en rajoute une couche, nous pouvons le faire! | |
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Alyssa Ascensionniste CA:13/ DMD:15 Chaotique Bon Représentation : 6/9 Alyssa observe, campée et droite sur ses positions au devant de la foule assise, l'arrivée de la garde. Elle s'efforce de ne pas montrer signe d'inquiétude, mais elle se sent terriblement vulnérable ici, au milieu des ruelles assombries par la nuit. Elle reste de marbre lorsque son épée fends l'air, montrant ainsi sa résolution ferme et implacable. Chrysopélée prends la parole à la suite du général. Lorsque celle-ci termine son discours engageant, elle en profite pour rebondir, prête à en découdre. Allez! Le tout pour le tout! Bien joué Chrysopélée!« Andoran est la nation du peuple libre. L'histoire le prouve. Mais qui a dit que le combat était terminé? » Elle interroge du regard à la fois la foule derrière elle, mais aussi les gardes. « Qui a décrété que le bon peuple de ces terres était enfin libéré du joug de l'agresseur? Comment peut-on se considérer comme le pays de la justice, des droits, de la liberté, lorsque dans nos rues, des gens meurent de faim parce qu'ils ne sont pas payés à leur juste valeur? » Elle regarde un peu les mineurs pour continuer son discours. « Comment peut-on dire que ce peuple est libre, lorsque d'autres meurent sous la terre et se voient refuser l'accès aux galeries pour récupérer les corps de leurs frères?? » Son regard se tourne ensuite vers Zuss. Il est à la fois chargé de tristesse mais aussi de colère. « Comment! Comment peut-on se dire représentant des peuples libres lorsque l'on ignore que le système que l'on défends participe au rapt d'enfants? » Allez. Zuss, entendez raison. Vous êtes vous aussi un révolutionnaire. « C'est impossible! Tout bonnement impossible. Nous et ces hommes et femmes fiers de leur histoire sommes convaincus que c'est impossible. C'est pour cela qu'aujourd'hui, nous vous demandons d'entendre raison. Le peuple d'Andoran ne s'est pas battu pour se voir enchaîner par de nouveaux maîtres! La situation est si grave que certains prétendent que du temps du Chéliax, la vie était plus douce!! Entendez raison et rejoignez-nous! » Allez.. Pour le peuple. Faites qu'une fois au moins, nous puissions améliorer la vie de quelques personnes. Alyssa se redresse et son visage de saltimbanque ne manque pas de trancher avec l'air bourru des gens du cru. « Vous, vous tous parmi la garde, vous faites partie du peuple d'Andoran. Ce peuple qui s'est battu pour gagner son indépendance. Votre histoire montre que vous avez su briser le joug d'un Tyran aussi puissant que l'empire du Chéliax. Allez-vous ployer le dos devant une société misérable qui empoisonne vos vies en souillant le mot liberté? » La Tieffeline observe Althéa parmi la troupe, cherchant quelque soutien en interne. Desna, tu n'as plus qu'a nous sourire.
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La troupe semble impressionnée par le discours de Chrysopélée et d'Alyssa. Même les révolutionnaires commentent dans leurs rangs. L'officier elfe semble contrarié de voir que la résistance se trouve d'avantage sur le plan rhétorique que tactique, et abaisse son épée, qu'il range dans son fourreau, mais reste sur son cheval, un domination tactique valant toujours une domination symbolique. Zuss Nusomrar "Démocrate" Les révolutionnaires baissent la tête, réalisant apparemment seulement maintenant à quel point leur cas est isolé par rapport au reste de la population Andorranne. « Orégent est un bastion de l'économie, le Consortium fournit le bois de tout l'Avistan. Vous croyez sincèrement que vous pouvez leur "demander de partir" ? Mais s'ils le font, ce n'est pas seulement Orégent qui tombera en ruine, c'est l'Andorran tout entier ! Qui êtes-vous, pour réclamer la justice après avoir convaincu des gens de voler leurs outils de travail ? Qui êtes-vous pour réclamer la liberté dans le seul pays de Golarion qui a aboli l'esclavage ? Qui êtes-vous, enfin, pour exiger la dignité, quand le gouvernement d'Orégent fait tout ce qui est en son pouvoir pour préserver la vie de ses habitants en dépit des tremblements de terre incessants ?
Evidemment, vous trouverez toujours des gens pour préférer la soumission à l'indépendance, au terrible poids de devoir servir son pays en décidant de son futur, et surtout d'assumer les conséquences des choix qu'on a fait. Mais voilà l'insupportable vérité que ces passéistes, de même que votre petite insurrection, ne peuvent supporter : nous sommes désormais libres, et la seule personne que vous pouvez blâmer pour vos malheur est vous-même. »La dernière phrase sonne comme un coup d'épieu dans le coeur des révolutionnaires assemblés, et le silence qui la suit résonne contre les murs des maisons environnantes. Pendant cet étrange silence, et le rendant plus étrange encore, les plus observateurs remarqueront un petit papillon rouge sang voleter, se poser sur les pavés séparant les deux armées, puis repartir. | |
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Raargal Cinderhand Croyant CA:14/ DMD:11 Neutre Focalisation 1/1 Raargal se lève, et déclare: « Je ne prétends pas parler au nom du peuple de l'Andoran. Uniquement de ceux sous le joug du Consortium. Vous pensez que seul l'économie tiens un pays? C'est faux, ce sont ses citoyens, ces hommes et ces femmes qui travaillent tout les jours pour nourrir et enrichir les pompeux dans votre genre. Vous savez ce que j'aime dans les discours prémâcher que vous êtes en train de nous sortir? C'est que vous répondez a vos propres questions. Tout votre discours n'a d'intérêt que pour rabaisser, faire se sentir minable et détourner le problème. Nous vous parlons de condition de travail, de dignité, de respect et de liberté, vous nous répondez profit et économie. Vous voulez placer toute votre foi dans un gouvernement qui n'est pas là pour constater la réalité, dans un gouvernement dont, bien sûr, vous faites partie? Plutôt que d'assurer votre place au conseil, et de profiter des petites gens que vous avez juré de défendre, il faudrait plutôt songer à les défendre. » Il regarde autour de lui, puis dirige son regard droit dans les yeux de Zuss, en marchant lentement, mains bien visible. « Nous vous parlons de ces citoyens qui souffrent, d'un groupe qui extorque, menace, s'adonne au vol, au meurtre, au racket et au kidnapping. Tout ce que vous trouvez à répondre, ce sont de basses attaques sur les portes paroles. Alors, si ce que je viens de dire vous déplaît, sachez que je n'ai fait que jouer à votre jeu. » Il continue d'approcher, sortant seulement de la foule, se plaçant entre elle et la garde. « Je me place entre la tyrannie par la peur, et ces pauvres hères. Comptez-vous vraiment continuer de vous placer sur cette route, alors que ces gens protestent par la non-violence? Vous êtes venu en force, avec comme seul objectif que de répandre votre idéologie par la violence. Vous vous attendiez à une réaction agressive de notre part, seulement voilà, nous sommes pacifique. Nous protestons, nous arrêtons le travail, nous paralysons la ville, mais nous ne tuons personne, nous ne blessons personne. Votre seul motif réel d'enfermer tout ces gens, c'est... du... vol? De leurs propres outils qu'ils ont payés de leurs sangs, de leurs familles? Une petite fille a été enlevé, et vous voulez arrêter les victimes? » Raargal pointe du doigt le "démocrate". « Vous trouverez toujours des gens pour préférer la soumission à l'indépendance au terrible poids de devoir servir son pays en décidant de son futur. Assumer les conséquences de vos choix, c'est un échec. Nous ne sommes pas libre. Nous ne sommes pas libre de garder nos enfants dans nos foyers, nous ne sommes pas libre de manger à notre faim, nous ne sommes pas libre de manifester que: ça suffit. Ça suffit! » Il pointe maintenant les rangs des soldats. « Combien de famille avez-vous qui sont assis derrière nous? Combien d'amis? Combien de fois avez-vous vu les hommes du consortium venir avec l'or prélever sur le dos de ces gens, pour venir payer l'aveuglement des enquêtes, le retrait des gardes etc...? Oui, OUI! Vous en êtes conscient! Vous le savez, et certain participe peut-être! Je ne vous jette pas la pierre, mais prenez la bonne décision, faites ce qui est juste! Sortez des rangs, traverser la place, et venez vous asseoir! » | |
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Le premier rang de la troupe, intimidé par l'avancée de Raargal, se met en position de combat, tout en ayant l'air extrêmement nerveux. Le reste de la troupe quant à eux regardent par dessus le nain, ému par les paroles de Raargal, et réalise que les révolutionnaires sont en effet des gens qu'ils ont l'habitude de croiser, des amis... Énervé par le populisme et les mensonges de Raargal, Zuss semble perdre contact avec ses hommes et ne réalise pas l'instabilité de sa position. Zuss Nusomrar "Démocrate"
Et vous avez beau jeu de professer la non-violence alors que vous entraînez votre armée depuis tout à l'heure... je suis fatigué de votre hypocrisie, garde, épée au fourreau, arrêtez les porte-paroles, laissez les autres pour l'instant, avec un peu de chance ils recouvreront leurs sens une fois les quatre soi-disant héros derrière les barreaux. »Un moment de flottement se fait sentir entre l'ordre et son exécution, pendant lequel les révolutionnaires vous regardent, l'air de demander ce qu'ils doivent faire. Finalement, quatre gardes finissent par sortir des rangs avec des menottes et se dirigent vers chacun d'entre vous, et quelques ascensionnistes se lèvent, en soutien de Raargal et des autres, en en entraînant d'autre avec eux. Cette vue suffit à faire s'arrêter les gardes, et comme pour enfoncer le clou dans le cercueil de leur résolution, Althéa pose pied à terre, ce que Zuss semble ne pas avoir du tout anticipé, et ne pas du tout apprécier. Elle enlève son casque qu'elle laisse tomber à terre et vous rejoint, se positionnant elle aussi à côté de Raargal. Et bien vite, la moitié de la troupe la suit, au compte goutte, lentement mais sûrement, sans un mot, les gestes étant largement assez éloquents. Zuss fronce les sourcils et reconnait sa défaite. « Bien... Puisque c'est ainsi... Que l'Histoire se souvienne que vous avez refusé de vous soumettre à la justice et de plaider votre cause ailleurs que sur une place crasseuse entourée de vos dévots. »Puis l'officier Nusomrar quitte la place de Grève avec une quinzaine de garde et ses trois autres dragons. Une fois la troupe hors de vue, les révolutionnaires laissent leur joie et leur soulagement s'exprimer et exultent en se félicitant et en vous félicitant. Vous gagnez un niveauModifié par un utilisateur lundi 25 juin 2018 09:23:24(UTC)
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Raargal Cinderhand Croyant CA:14/ DMD:11 Neutre Focalisation 1/1 Le nain regarde le commandant des gardes s'en aller, le temps s'écoule lentement. Je n'y croyais vraiment pas... Merci Althéa. Il se retourne, et regarde la paladine et ceux qui l'accompagne. « Je ne suis pas aussi doué avec les mots que mes amis... Mais... Merci. Merci de vous joindre à nous, merci de croire que la vie peut changer, merci de donner une chance aux évènements. » Ses jambes tremblent un peu. Il fait signe à tout le monde de rester assis. Puis, il regarde Chrysopélée et Alyssa, l'air de dire: "Et maintenant, il faut un discours, un objectif, une quête. Il faut agir." | |
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Owen Isha Heureuse CA: 16 - DMD:16 Loyal Neutre C'est un grand soupir de soulagement qu'Owen lâche au moment où la grande partie de la garde décide de s'en aller, et un large sourire se dessine sur son visage quand Althéa rejoint les rangs. Elle se relève, passant ses mains sur son derrière pour l’épousseter, s'approchant de ses compagnons de route, un fin rictus aux lèvres. « Franchement, bien joué. » Elle se tourne vers Althéa. « Ça fait plaisir de voir que vous n'avez pas eu de problèmes avec Dario, et... Surtout d'vous avoir ici, avec nous ! » Elle semble réellement enjouée, manquant une seconde de cacher ses larges canines suite au sourire satisfait de cette courte victoire des révolutionnaires sur la garde.
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Chrysopélée Heureuse CA:15-DMD:12 Neutre Bon Représentation 8/8 Aurore Se repose CA:16-DMD:14 Chrysopélée se tendit en entendant Zuss parler. Humm... il sait parler lui aussi.... J'espère qu'il ne convaincra personne... Elle l'écouta parler haussant souvent des sourcils d'incompréhension. Non mais il est sérieux ?! Et puis quoi encore ? On vit dans le meilleur des mondes peut-être ? S'il avait une once de dignité il reconnaîtrai nos demandes et ferait de son mieux pour améliorer les sorts de ses pauvres gens plutôt que de nier leur misère... Elle se tut le laissant déblatérer ses paroles. Elle regarda à droite et à gauche voyant cependant que le moral des révoltés vacillait. Heureusement pour eux, Raargal prit la parole directement après le discourt de Zuss. Chrysopélée tiqua un instant... Le nain ne l'avait en effet pas habitué à des discours diplomates. Elle le laissa néanmoins parler, sachant qu'il fallait avant tout montrer l'unité du mouvement. Mais elle écouta ses mots qui portaient avec justesse et hocha la tête vigoureusement. Lorsqu'il eut finit. et que Zuss reprit la parole elle l'écouta expliquer que la grandeur d'une nation nécessite le sacrifice de certain. Mouais... Et puis évidement, si on se révolte ce n'est pas pour prendre notre destin en main non ? Heureusement alors que la situation aller tourner au vinaigre, Althéa passa à l'action et se rangea de leur côté, suivi par une partie de la garde. Chrysopélée la regarda avec grande gratitude. Merci Althéa, merci beaucoup. Une fois que la garde fut partie, et que tout le monde commençait à exulter elle se leva et prit la parole. « Merci ! Merci à tous d'avoir tenu ! Aujourd'hui est une victoire ! Nous avons montré que nous pouvions nous dresser autrement que par les armes et la violence. A tous bravo ! »Elle hocha la tête en souriant à tous tandis que sa visage s'illuminait d'une couleur dorée. « Oui, oui nous pouvons nous féliciter. Mais ne soyons pas naïf. Le combat est loin d'être fini. Zuss a parlé et il a raison sur un point. Nous ne sommes pas encore assez nombreux. Nous devons rallier du monde. Beaucoup sont ceux qui nous craignent. Qui ont peur. Nous devons informer, faire passer la nouvelle. Nous devons démontrer à tous qui doivent certainement penser comme Zuss que ce qu'ils disent est faux. Et aujourd'hui est un premier pas vers ce but. Et je tiendrai à ajouter ceci. Ce mouvement est le votre. A tous. Il n'y a pas de chef, il n'y a pas de supérieur. Notre force vient de notre cohésion, de notre multitude, de notre unité. Le combat ne sera pas simple camarades. Aussi savourons certes notre victoire du jour, elle est méritée, mais pensons à demain, imaginons un monde qui nous ressemble ! Prenez votre destin en main ! Créez un monde nouveau ! »Elle resta alors débout, écartant les mains vers les révoltés tout sourire. | On ira, on verra, et on commencera une révolution parce que c'est franchement pas beau. |
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Alyssa Doute CA:14/ DMD:16 Chaotique Bon Représentation : 9/9 Alyssa soupire longuement en entendant inepties sur inepties convaincues. Elle est néanmoins ravie de voir qu'Althéa les rejoint, étant donné la force du symbole d'un Dragon se démontant pour rejoindre le peuple. Lorsque le commandant de la garde se retire, elle ajoute, plus pour elle-même que pour lui ou pour quiconque : « La justice des uns est l'injustice des autres. » Je n'ai pas l'impression qu'on ait gagné quoi que ce soit. Au mieux, du temps.. Et du temps.. Elle regarde fixement le sol, ne parvenant pas à se réjouir de quoi que ce soit. On en manque nous même. Raargal et Owen se dirigent vers Althéa tandis que Chrysopélée commence à essayer d'inspirer les foules et la Tieffeline se contente d'observer sa camarade. Après la fin de ce discours, elle s'avance quelques peu vers les révolutionnaires, restés assis comme l'a demandé Raargal. Elle s'asseoit elle-même. Tant pour se mettre à leur niveau que pour calmer ses émotions. « Toute ma vie, et vous avez sans doute vécu une existence similaire, on m'a enseignée que la justice était l'oeuvre des puissants. Il est des gens qui en sont convaincus. » Sa voix calme et posée mais également déterminée enjolive assez bien les accents de son story-telling. « Ce commandant, qui a tenté de vous arrêter l'était aussi. Mais vous savez tous, tous oui, à quel point il est facile d'écraser autrui et d'appeler cela justice, lorsqu'aucune résistance ne se dresse. Aujourd'hui, vous êtes cette résistance. » L'opposition sera implacable. Ils sont en voie de se libérer, mais s'ils n'y croient pas, cela ne sert à rien. « Si vous vous sentez touchés par les arguments du commandant, n'ayez crainte, c'est normal. Nous avons tous et toutes appris que l'autorité était Loi et que la force était légitime lorsqu'elle la défends. Vous sentez-vous voleurs lorsque vous dépossédez l'exploiteur de ses chaînes? Ou vous sentez-vous libres? » Elle se redresse en arquant le dos, légèrement endolorie par une position peu confortable. « Personne, a part vous même, ne peut répondre à cette question. » Elle balaie du regard la foule, se demandant quel effet à son discours. « N'oublions cependant jamais quelque chose. Quelque chose de fondamental. » Elle s'éclaircit la voix en se redressant sur ses jambes. « Le doute est une force. Une vraie belle force. Veillez simplement à ce qu'elle vous pousse toujours en avant. » Elle sourit maintenant, étendant ces bras. « Si vous avez en votre cœur l'envie sincère de faire de cette ville une place plus juste, je sais que vous saurez toucher les autres. Vos outils, vos rues, vos maisons, votre travail, votre ville, votre terre, votre vie, tout cela appartient au peuple. Ne l'oubliez jamais. » Elle se rassoit en fermant les yeux, soupirant longuement. Peut-être que ce mouvement ne sera pas le bon. Peut-être que le prochain non plus. Mais ils ont la graine du doute en eux. Puisse-t-elle fleurir.
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Puisse-t-elle fleurir
Alors que ces mots traversent l'esprit d'Alyssa, du coin de pavé où s'est posé le papillon rouge quelques instants auparavant sort un petit bourgeon de rose qui fleurit en un instant, en dépit du fait qu'on soit à quelques jours de l'hiver, mais personne n'y prête attention. L'aubergiste arrive et annonce qu'il a mis en perce un tonneau de son meilleur vin pour célébrer ce que personne parmi les révolutionnaires n'hésite à qualifier comme une victoire en dépit de la réserve d'Alyssa. Cette nouvelle est bien entendu accueillie chaleureusement, et une partie de la révolution se dirige vers l'auberge, entraînant les gardes avec eux car tout le monde veut leur payer à boire pour les féliciter d'avoir choisi le bon camp. Zarko et Althéa restent avec vous et échangent quelques mots sur le déroulement de la rencontre et sur ce qui vous attends maintenant, quand la mystérieuse femme de tout à l'heure arrive par une ruelle en tenant une sacoche de laitier en cuir. Laetitia dit-elle en envoyant à Zarko, d'un geste lobé parfaitement calculé la sacoche de laitier que ce dernier ouvre pour découvrir... six bouteilles de feu grégeois artisanal. Intrigués, vous regardez en direction de la ruelle d'où vient la femme, et vous voyez les corps des Montagnards allongés au sol. « Ils dorment, ne vous inquiétez pas. »Satisfaite de son effet, la femme finit enfin par se présenter. « Je m'appelle Laetitia, je suis... une fervente partisane de la révolution, surtout quand on parvient à éviter les morts inutiles. Je ne sais pas si vous connaissez Milani ? Nous la vénérons car elle nous donne la force de nous soulever contre l'oppresseur et de nous libérer de nos chaînes. Enfin je ne suis pas là pour vous convertir, mais simplement pour vous apporter mon soutien si vous en avez besoin. » Elle semble habitée par une profonde dévotion, mais contrairement à la plupart des dévots que vous croisez, elle semble sincère dans son refus de prosélytisme. | |
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Owen Isha Etonnée CA: 16 - DMD:16 Loyal Neutre Owen s'arrête dans sa conversation pour observer la mystérieuse femme faire son entrée théâtrale. « Enchantée. » Elle opine en guise de salut. « Votre soutien sera un grand atout à cette révolution, à n'en pas douter. » Elle jette un coup d’œil vers la ruelle où gisent les montagnards, hors d'état de faire quoi que ce soit. « Milani..? Non, ça ne me dit rien. En tout cas, cette petite victoire marque le début d'un long combat contre le Consortium et la rébellion. Le peuple ne doit flancher maintenant que la machine est en marche. » Elle fait un petit signe à la nouvelle partisane du mouvement, s'en allant vers Alyssa. « Dis, j'peux te parler deux minutes ? » Les deux femmes s'éloignent de la foule quelques minutes. « Je... J'aime pas demander ça, mais je risque de faire une grosse connerie si je ne le fais pas. » Elle prend une grande inspiration par le nez, chuchotant. « J'ai besoin de boire du sang, j'en peux plus, ça fait une semaine que j'ai rien pris... »Elle observe la demie-diable avec un air des plus sérieux, attendant sa réponse. Modifié par un utilisateur mardi 26 juin 2018 01:16:12(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Inscrit le : 21/02/2018(UTC)
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Alyssa Intriguée CA:14/ DMD:16 Chaotique Bon Représentation : 9/9 Alyssa observe avec attention la zélote de la déesse des révoltés. Oh. J'en avais entendu parler.. Mais je pensais qu'il ne s'agissait que d'une légende. Elle se gratte légèrement les cornes et s'incline vers celle-ci, se demandant bien comment une légende dont elle n'a entendu parler que comme un rêve fugace pouvait être si tangible. « Merci pour votre aide, nous avons relâché notre attention vis à vis des ces gens. » Elle tends la main pour lui serrer la sienne. « Moi qui pensais que Milani n'existait que dans mon imagination fertile, je suis ravie de voir que des adeptes de la liberté existent bel et bien. » Elle sourit doucement à Laetitia. Fiouh. Ca me rassure. J'en étais presque venue à penser qu'il s'agissait d'une adepte de la Loi nous espionnant. « Vu l'aide que vous nous avez fournie, j'espère que vous allez fêter notre petite victoire avec nous? » Elle ne laisse malheureusement pas le temps à l'intéressée de répondre, puisque Owen lui attrape le bras pour discuter avec elle un peu à part.. et lui formuler sa requête, plutôt coûteuse. « Euh.. Oh. C'est.. plutôt surprenant. » Ouah. Est-ce qu'elle va me transformer? Je crois pas qu'Eliza soit devenue vampire suite à leurs.. relations. Elle à un léger mouvement de recul, mais pas assez prononcé pour montrer qu'elle se refuse complètement à la question, plutôt pour exprimer sa surprise. « Je dois t'avouer que tu me prends de court.. » Elle la regarde dans ses yeux s'agitant de gauche à droite nerveusement, exprimant le manque. Me mordre..? Hum.. « Bon. Écoutes. C'est un peu compliqué.. Qu'est-ce que je risque? » Woh.. Bien joué Alyssa, tu sais convaincre une foule, mais t'es incapable de gagner du temps avec un compagnon de voyage!
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Owen Isha Faim CA: 16 - DMD:16 Loyal Neutre Owen joint ses mains, se triturant les doigts avec une nervosité palpable. J'espère qu'elle va accepter... C'est pas le moment de te foirer. Elle se racle doucement en se grattant la joue, regardant à droite, puis à gauche, et enfin Alyssa. « La seule chose que tu risques, c'est d'avoir un peu mal, rien de plus... »Elle ravale sa salive, visiblement gênée d'en arriver là.
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Alyssa Confuse CA:14/ DMD:16 Chaotique Bon Représentation : 9/9 Alyssa croise doucement les bras en observant Owen avec un air plus peinée qu'inquiète. Hum.. Avoir un peu mal hein.. Elle soupire doucement avant de lui sourire. « D'accord. Mais discrètement, ce soir. Et c'est toi qui paies la chambre. Et tu m'offres aussi le prochain repas dans la taverne dans laquelle on séjournera. » Elle soupire doucement avant d'esquisser un petit rire. Tant pour essayer de faire descendre la tension que pour elle-même se donner du courage.
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