Astrid ne se sentait pas très bien depuis un moment et se contentait de suivre le groupe. Si la plante n'avait pas posé problème elle craignait qu'en ouvrant la porte le groupe ouvre la boite de Pandore et fasse déverser sur la contrée un fléau qui serait difficile à endiguer. Le groupe ne mit pas longtemps à retrouver les panier en osier, il y en avait un dans le petit salon et un autre dans la pièce qui jouxtait la salle à manger et qu'avait exploré Ank plus tôt. Sous une de ces cage en osier l'un d'entre eux trouva un nouveau morceau de parchemin tout chiffonné.

Les cages étaient assez grande pour accueillir des petits animaux comme des petits chiens de compagnies mais rien de plus grand. Disons qu'on pouvait mettre la tête dans la cage d'osier et que les mailles étaient suffisamment serrées pour ne pas qu'on puisse passer la langue au travers. L'ouverture se faisait comme pour une cage à oiseau sur un flanc et une poignée avec une cordelette permettait de transporter l'objet...

Ceux qui s'étaient rendus directement à la porte provoquèrent un nouveau hurlement des créatures. Ce qui avait été annoncé par Dovvet fut mis en place autour de la porte la couverture fut percée avec ce qui restait d'une flèche brisée et les aventuriers nains aperçurent enfin les créatures qui tournaient dans ce qui devait être autrefois un bureau mais qui étaient recouvert d'une substance séchée grisâtre ainsi que tout le mobilier qui se trouvait là. Les choses étaient en fait des têtes décapitées horribles et en état de décomposition avancées. Des tentacules semblables à des serpents bougeaient autour de ces têtes dont les yeux vitreux fixaient le vide. Les bouches de ces choses s'ouvraient de temps à autre pour laisser échapper les hurlements horrifiques sortis d'outretombe.

Modifié par un utilisateur jeudi 12 juin 2014 11:26:36(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Mais qu'est-e que c'est que ces horreurs ?!?!.. C'est ça que ce maudit groupe voulait lâcher sur le village ? Attendez ! Il y a peut-être un moyen de ne pas se lancer dans un combat. Ces têtes volantes sont arrivées dans les cages en osier, si elle sont en bon état, on peut s'en servir pour les capturer et les détruire ensuite une par une, soit en les jetant dans un feu soit en les transperçant à travers les interstices avec des pointes de flèche, de carreau, voire avec des lames de dague ou d'épée si ça peut passer. Si on ouvre un trou pour les faire sortir et qu'on place une cage juste devant porte ouverte, la première tête qui sort sera piégée. On referme la porte de la cage et on glisse une seconde qui viendra pousser la première. On capture une seconde tête. Et ainsi de suite, en prenant un maximum de précautions. Je ne sais pas ce que c'est ces substances grisâtres qui recouvre les meubles, mais si le parchemin dit vrai, ça devait contaminer les villageois, alors il ne faut pas qu'on ait de contact direct avec ces trucs là. Ce n'est pas parce que ce sont que des têtes que c'est facile à tuer. Souvenez-vous de ce petit lézard bleuté qu'avait le mage. Il n'était pas bien gros et il a failli tous nous tuer.

Dovvet et Astrid, vous restez devant le petit trou pour surveiller ces choses. Je vais aller examiner de près les cages en osier pour voir si ça peut le faire. A moins que vous ayez d'autres idées ? »

Pour le moment deux tactiques se dégageaient mais semblaient assez similaires, il fallait profiter du fait que les créatures étaient enfermées dans la pièce et ne puisse pas les atteindre si on ne leur en laissait pas la possibilité. Grimvat avait ramené une cage d'osier enfermer une créature était tout à fait possible mais comme l'avait dit Dovvet, il faudrait faire attention au doigts si quelqu'un la maintenait et si une fois la chose devant on devait refermer vite faire la cage, il y avait toujours un risque que la créatures soit plus rapide que la personne refermerait la cage ou la plaquerait au sol. Les aventuriers trouveraient de quoi clouer s'ils suivaient le plan de Dovvet, il faudrait récupérer des clous ailleurs c'est tout... Quand à tirer à travers un petit orifice s'ils optaient pour cela, il n'y avait besoin d'aucune préparation.

Il ne fallut pas longtemps à Astrid pour savoir à quoi ils avaient à faire. Les choses étaient des vargouilles. Des êtres qui n'étaient pas originaires du plan Matériel mais on pouvait les y rencontrer assez souvent, dans les cimetières, sur les anciens champs de batailles et dans tous les autres endroits touchés par la mort et la décomposition. Ces monstres hideux provenaient des plans Inférieurs dont ils parcouraient les cieux étranges et lugubres à la recherche de nouvelles âmes à torturer. Dans ces royaumes cauchemardesques, les vargouilles tenaient un rôle similaire à celui des corbeaux ou des vautours. Mais à la différence de ces oiseaux charognards, ils prenaient un malin plaisir à causer angoisses et souffrances.

Astrid savait aussi que es vargouilles attaquaient en fondant sur leurs adversaires, en les paralysant de leurs cris, puis en les mordant avec leurs nombreuses dents acérées et empoisonnées. Lorsque plusieurs vargouilles partageaient un même but et s’alliaient pour combattre, elles submergeaient leur victime, mordaient et criaient puis la déchiraient en lambeaux. Pour finir elles pouvaient se reproduire rapidement et accroître leur nombre de plus en plus vite en transformant les victimes paralysées qui succombaient à leurs baisers mortels.

Dovvet n'était visiblement pas assez concentré et pensait à toutes sortes de choses attendant les réponses de ses camarades et détournant de temps à autres les yeux sans même s'en rendre compte si bien que peu à peu le nez de son arbalète avait descendu en même temps que son bras fléchissait. Il n'eut à attendre que quelques secondes avant qu'une vargouille se présente assez près et il tira... Le trait se ficha dans la porte dans un claquement qui fit sursauter ceux qui étaient tout proches. Une des vargouilles passa près du trou de la porte et de la couverture déchirée en hurlant en réponse à la tentative d'agression avortée mais comme le tir n'avait rien provoqué dans la salle, elle accéléra juste son vol un peu plus avant de reprendre une course normale en tournant dans le bureau...

Imgar acquiesça et exécuta aussitôt le conseil d'Astrid il alla à son sac pour aller chercher de la mie de pain dans sa rations pour en faire des boulettes et se les fourrer dans les oreilles. Il ramena sa miche de pain encore assez fraîche pour que les autres puissent faire de même. Si la sorcière était prête à prendre ses responsabilités d'arbalétrière lui aussi et il se présenta en premier à la porte pour viser et attendre le bon moment pour éliminer les vargouilles. Il se concentrerait sur une en particulier s'il le pouvait. Tout se passa comme prévu, les vargouilles après un premier tir victorieux du grenadier s'excitèrent et allèrent ensuite se planquer en hurlant. il les revit passer après plusieurs minutes mais trop pressé cette fois ci de réitérer son premier tir il se manqua totalement. Le dernier trait lui fit retrouver la réussite mais il ne fit qu'effleurer la vargouille qui était toujours volante après un peu plus d'une heure trente, il était temps pour Imgar d'aller se reposer.

L'alchimiste nain alla réveiller Ankelsvinn qui dormait dans un des fauteuils de petit salon emmitouflé dans sa couverture. Le gripli s'était délesté d'une grosse partie de son équipement et arriva dans le plus simple appareil à la porte pour essayer de zigouiller la première des vargouilles. Il n'eut pas de mal à repérer à celle qui était déjà blessée... Imgar avait fait du bon boulot en moins de deux heures. Le rôdeur banda son arc et tira sur la créature volante que le nain lui avait laissé mais sur la pointe des pieds pour pouvoir viser au niveau de la fente faite par Grimvat, le grippli n'était pas dans les meilleures condition et se loupa. Il dut attendre plus d'une heure avant qu'elle ne sorte de sa cache et repointe le bout de son nez mais là encore il se manqua. C'était un coup pour rien pour le meilleur tireur du groupe, de plus les vargouilles commençaient à prendre la mesure de la tactique des intrus et les créatures ne réapparurent plus durant le tour de garde d'Ank qui faisait des aller et retour entre la fameuse porte et le feu de cheminée qu'il alimentait régulièrement avec le mobilier en bois du manoir. Il alla réveiller Grimvat qui lui aussi avait du se mettre à son aise pour qu'il prenne le relais.

Comme le guerrier et plusieurs autres l'avaient dit la tactique était sans danger mais promettait d'être longue. Très longue... Grim avait déjà dormi quatre heures les vargouilles pointèrent le bout de leur nez une heure après le début de son tour de garde.

Modifié par un utilisateur vendredi 27 juin 2014 07:24:35(UTC)  | Raison: Non indiquée

Dovvet prit le relais lorsque Grimvat vint le réveiller. Le prêtre de Bolka sans doute comme les autres avait avalé son repas du soir rapidement pour aller se coucher. La journée avait été particulièrement rude à crapahuter dans la neige jusqu'à la nuit tombée de la nuit, puis il y avait eu la tension du combat et faire appel à la magie divine fatiguait énormément le nain qui n'avait pas demandé son reste et avait déplié paillasse et couverture pour aller s'endormir prêt de la table après avoir été refermer les portes coulissantes et autres pour permettre au mieux de garder la chaleur du feu entretenu par ceux qui montaient la garde à la porte...

Avant que Grim ne retrouve sa couche le prêtre prit les mains du guerrier. Grâce à une petite prière il effaça toutes traces de fatigue que le nain aurait pu accumuler en veillant au cœur de la nuit pour permettre aux autres de se reposer confiant d'être entre de bonnes mains.

Dovvet emprunta la lourde arbalète de son compagnon plutôt que la sienne certes plus rapide à recharger mais beaucoup moins puissante et comme il avait cru comprendre que les vargouilles se faisait rare maintenant et allaient se planquer après chaque tir. Il se disait qu'il valait mieux privilégier la puissance de tir... Il alla se mettre en position, il surveillait le feu du coin de l’œil également et si ce dernier commençait à décliner il quitterait son poste pour aller le nourrir d'une chaise ou d'un guéridon...

• Attaque à distance sur vargouille blessée : 1d20+1 donne [5] + 1 = 6
• Dégâts arbalète lourde : 1d10 donne [2] = 2
• Temps avant la prochaine apparition : 64d20 donne [639] = 639

Modifié par un modérateur dimanche 29 juin 2014 17:10:58(UTC)  | Raison: Non indiquée

Grim resta à veiller avec Dovvet. Étrangement, il n'avait plus sommeil et ce malgré une éprouvante journée de marche sur un sol difficile en raison de la neige, puis il y avait eu les combats, la forte tension, les montées d'adrénaline qui en retombant sapaient toutes les forces, bref le guerrier tout comme ses compagnons ne s'étaient pas ménagés et pourtant, après son tour de garde et après avoir passé la main au prêtre, il n'avait pas réussi à retrouver le sommeil. Cependant son attention et son esprit vagabondaient sur les routes de l'aventure qui les avait mené jusqu'ici. Il avait traversé de nombreuses contrée set pays avec les jumeaux, il avait passé une trentaine de cycles avec eux et quelque part même si les débuts furent difficiles, il avait fini par s'habituer à leur présence, leurs chamailleries incessantes, les calottes qu'il prenait comme pour ponctuer chaque enseignement qu'ils lui donnait, il n'y avait rien d'insurmontable et tout problème trouvait sa solution.

Le déclenchement d'une arbalète le fit sursauter. Instinctivement il se mit debout et se mis sur la défensive marteau de Lucerne en main. Mais la tension retomba aussitôt lorsqu'il vit Astrid se reculer du trou dans la porte, son arbalète déchargée en main et un léger sourire satisfait. Il s'enquit de l'état de leurs adversaires. La première était grandement amochée quant à l'autre était intacte. Depuis le temps que tous avaient scruté par le trou, ils devaient avoir une idée de la dimension de la pièce derrière. Il fallait prendre une décision et le guerrier attendit que chacun soit levé et prêt à agir, c'est à dire lorsque Dovvet eut fini ses prières, Astrid ses préparatifs, Igmar ses mélanges, Ank devait sans doute affuter ses armes tout comme lui etc.

« Bon... » - Commença-t-il pour attirer l'attention de tous - « Nous avons remarqué qu'après chaque tir, ces bestioles se faisaient de plus en plus prudentes. A ce train là, on y est encore dans 3 jours et encore avec de la chance. Je sais que la patience est une vertu chez les nains, mais nous n'avons pas assez de ressources pour tenir pendant tout ce temps. Sauf si quelqu'un va dans une des fermes en bas de la colline à plus d'une lieue et achète des couvertures, des provisions et du bois de chauffe, ce qui est aussi une possibilité. Mais je préfère laisser les fermiers tranquilles et loin des affaires naines. La seconde solution consiste à retourner à Nid-de-Faucon et de rapporter à Haken et sa mère que le manoir est nettoyé ou presque si on exceptait les deux choses-têtes-volantes. Selon moi ce n'est pas honorable et nous risquons de nous voir affublé la mission de retourner ici finir le travail. Donc il reste la troisième solution, précipiter la destruction de ces vargouilles, comme les appelle Astrid. Pour ça nous devons coordonner une stratégie des plus sure pour éviter que l'un ou plusieurs d'entre nous soient mortellement blessé. Astrid nous a dit que le moindre contact pouvait être mortel. Cette substance qu'elles sécrètent est une sorte de poison et même si les nains sont par nature résistants, ça n'empêche pas qu'il y a un grippli qui l'est sans doute moins et que personne n'est infaillible. »

« Je me disais que peut-être Igmar avait la solution. Nous savons que la pièce derrière cette porte n'est pas si vaste et que les bestioles ne peuvent pas se réfugier partout. Igmar sait fabriquer des trucs alchimiques qui provoquent une puissante déflagration. Je ne connais pas l'étendue de ses bombes mais je me dit que s'il en lançait une ou deux par le trou, déjà ça éliminerait définitivement celle que nous avons laborieusement blessé durant toute la nuit de surveillance, mais que l'autre ne sera plus tranquille non plus pour se planquer dans un coin. Donc dans un premier temps, Igmar, que peux-tu faire avec tes bombes ? Si là n'est pas la solution, alors on envisagera autre chose. S'il ne reste qu'une bestiole, je suis prêt à me risquer à la combattre au corps à corps. Avec toute l'aide à distance que vous pourrez m'apporter. Pas question d'exposer plus d'une personne à son contact et si cela devait être alors cette personne sera moi. »

Modifié par un utilisateur lundi 30 juin 2014 19:24:58(UTC)  | Raison: hameau devient ferme

Alors que le groupe se mettait d'accord sur la conduite à tenir sous l'égide de Grimvat et d'Astrid et que tous se préparaient au mieux à l'affrontement s'équipant de tout ce qu'ils avaient pu ôter pour passer une bonne nuit de sommeil et rangeant leur barda pour être prêt à repartir dès qu'ils en aurait fini avec le manoir Dralkard. La tactique était simple Grim défoncerait la porte encaisserait les assauts des vargouilles et essayerait de les entraîner vers le reste du groupe mais il laisserait Imgar faire avant d'intervenir lui-même. Étant donné qu'il y en avait une à moitié morte, il y avait un adversaire à éliminer.

Alors que les aventuriers en étaient à réajuster les bouchons d'oreilles de fortune fait avec de la mie de pain et qu'Imgar allait parler pour proposer ce qu'il pouvait faire ou pas, l'un d'entre eux entendit un bruit venant de l'extérieur c'était un hennissement ponctué de quelques éclats de voix. Ils étaient relativement proches, sans doute un groupe qui arrivait au sommet de la colline et devait donc se trouver à une dizaine de mètres de l'entrée du manoir... Cela laissa les nains sans voix ! Qu'est ce qui allait encore leur tomber dessus ?!

Map

Modifié par un utilisateur lundi 14 juillet 2014 17:07:37(UTC)  | Raison: Non indiquée

Dovvet suivait déjà Grimvat répondant à l'appel du guerrier comme il était prêt pour le combat contre les vargouilles il avait déjà son bouclier et son morgenstern.

Le prêtre de Bolka était particulièrement inquiet, il espérait un renfort envoyé par Dorna, peut-être même Haken en personne qui aurait eu vent d'une manière ou d'une autre de la présence du groupe qui vouait un culte à Asmodéus et une haine envers les humains de la petite ville ouvrière de Nid-du-Faucon mais il n'y croyait pas vraiment... Il fallait être fou pour venir jusqu'ici avec le temps qu'il avait fait cette nuit. Personne de censé ne s'y serait aventuré même à cheval et ceux qui venaient de la bourgade auraient du partir après minuit. Peut-être était-ce quelques fermiers qui avaient vu hier les aventuriers traverser la plaine et venait voir par curiosité... mais alors ils ne devaient pas avoir froid aux yeux, avec tout ce que l'on disait sur ce lieu ! Dovvet n'y croyait pas et il s'attendait au pire c'est à dire à se battre, certainement avec d'autres membres du groupe qu'ils avaient combattu la veille. Le nain n'avait pas trouvé de nourriture jusqu'à présent dans la demeure et il se disait que quelques hommes étaient peut-être partis au ravitaillement hier et s'étaient fait surprendre par la tempête...

Bref il s'avança prêt à défendre la porte et voir ce dont il retournait avec son compagnon. Le prêtre de Bolka tendait l'oreille pour comprendre ce que disait les voix. Il essayerait de regarder par les interstices de la porte dégondée dès qu'il y serait pour voir qui arrivait et quel était le nombre de personnes qui allaient être face à lui. Il s'adressa auparavant à voix basse au guerrier : « Je ne le sens pas Grim, il va certainement encore falloir combattre des disciples maléfiques... Essayons de rester discrets ça fera gagner du temps aux autres pour se placer idéalement. »

• Test de perception (écoute) : 1d20+6 donne [8] + 6 = 14

Double déplacement en N10 dans un premier temps jusqu'à la porte en P9 si on a plus de temps.

Modifié par un utilisateur vendredi 11 juillet 2014 09:49:06(UTC)  | Raison: Non indiquée

Igmar fouilla dans ses sacoches de ceinture et en sorti une de ses précieuses bombes, ses douceurs comme il aime les nommer. Son regard s'enflamma comme à chaque fois, comme ci c'était la première fois qu'il les contemplait.

Le fait que d'autres ennuies arrivaient lui fit faire une légère moue mais les bestioles volantes pouvaient attendre encore un peu avant de gouter à ses douceurs et il se dirigea calmement vers une des fenêtres non loin de la porte d'entrée.

Son arbalète légère armée et prête accrochée dans le dos, il se dirigea rapidement mais calmement vers sa destination et murmura : « Qui que ou quoi que ce soit, il va falloir qu'ils comprennent que la demeure n'est plus libre d'accès et que le ménage va être fait et bien fait ! »

Il retira ses bouchons de pain de mie et écouta pendant sa marche.

• test de perception écoute : 1d20+6 donne [16] + 6 = 22
• discrétion : 1d20+1 donne [8] + 1 = 9

Il se dirige en L11 et si rien ne se passe il va en P13

Modifié par un modérateur lundi 14 juillet 2014 17:10:13(UTC)  | Raison: Non indiquée