Tear rangea sa rapière, mais gardait toujours sa baguette en main. Elle la pointa vers le garde et activa le mot de pouvoir. D'un ton moqueur:
« Je crois que je vais inscrire "Pour Irvine" sur la baguette! »

La barde remit la baguette à sa place et répondit à Nerlim, sur un ton moins joyeux.
« Je crois qu'on était légèrement occupé à sauver Ephan et Irvine pour préparer une retraite convenable... »

Baguette de soins légers. 16 charges restantes:

• Soins légers : 1d8+1 donne [2] + 1 = 3

Irvine se pencha pour examiner l'équipement du squelette.

La lourde armure était un modèle ancien mêlant plaques de métal noires et cotte de maille. Elle était décorée de symboles runiques rouges. Elle devait surement mieux protéger que celle du garde mais était aussi beaucoup plus lourde à porter.



La corsèque était une belle arme qui avait du être réalisée par un artisan talentueux. Son manche et ses lames étaient également décorés et ouvragés et, par endroit, on distinguait les mêmes runes que sur l'armure. Il devait s'agir d'une arme de cérémonie mais qui pouvait tout aussi bien servir en combat.

Armure de plaques
Corsèque de maître

Jet de connaissance (mystères) éventuellement pour identifier les runes

Modifié par un utilisateur mardi 17 juillet 2012 13:27:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le garde ramassa la corsèque l'air satisfait.

« Nerlim, pourriez-vous examiner ces runes ? Je voudrais vérifier qu'il n'y a aucun risque à porter cette armure. »

Nerlim examina les runes qui ornaient l'armure mais celles-ci lui demeurèrent obscures. Par ailleurs, le magicien ne perçut pas de magie, ni sur l'équipement du squelette, ni dans la pièce. Il en déduisit que les runes devaient être décoratives et, qu'à priori, il n'y avait pas de danger pour qui voulait revêtir l'armure.

Pendant ce temps, Ephan fouilla une à une les alcôves mais celles-ci ne contenaient que des débris d'os et de tissus funéraires vieux de plusieurs millénaires et tombant en poussière.

En s'approchant du mur du fond, il remarqua par contre qu'un des symboles runiques présent sur l'armure avait été gravé en léger relief sur la paroi. Le roublard l'examina avec soin et ne tarda pas à voir que celui-ci était en fait un système d'ouverture. Il était probable que si on appuyait sur la rune gravée, le mur s'ouvrirait et libérerait une ouverture vers la grande salle aux statues.

Au même moment, Irvine s'aperçut avec satisfaction que son état de somnolence avait disparu (tu n'as plus de malus en Perception et sur les jets de Volonté contre les effets de sommeil).

Modifié par un utilisateur mardi 17 juillet 2012 22:05:01(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Mes parents sont artisans, j'ai quelques outils avec moi qui me seront utiles pour déverrouiller la porte. »

Le roublard fouilla dans son sac à dos pour y prendre son petit matériel de voleur puis se mit au travail. Il prît aussi son outre d'eau bénite restante à portée de main au cas où.

Ephan sortit une trousse d'outils spécialisés et essaya de crocheter la serrure. Après quelques minutes d'effort, il du se rendre à l'évidence. Il ne parviendrait pas à ouvrir cette serrure. Elle était beaucoup trop complexe, peut-être la plus difficile à crocheter qu'il ait jamais rencontrée.

Les aventuriers pouvaient remarquer que l'objet en pierre qu'ils avaient découvert dans la salle aux runes et la serrure qui se trouvait devant eux avaient peu de rapport.

L'un était gros comme une main humaine et avait une forme bien particulière, en forme de croix. L'autre était une serrure tout ce qu'il y avait de traditionnel.

Si l'objet en pierre faisait office de clé, il était peu probable que ce soit ici.