Doronga se dirigea alors vers leur cible, indiquant avant tout à Ewen de frapper leur ennemi. Le loup plus prompt s'élança et essaya de mordre leur ennemi toujours interloqué. De son côté, Doronga attrapa sa bardiche et frappa sur l'ennemi sans risquer de le rater.



Si je vois bien pris au dépourvu il est touché. Angélic attack fonctionne même hors de la rage? Ici il n'est rien précisé? Merci de répondre que je comprenne un peu...

Modifié par un utilisateur vendredi 16 juin 2017 00:26:36(UTC)  | Raison: Non indiquée

Méliane n'avait même pas eu le temps de prononcer un mot, que le garde était taillé en pièces... avec un haussement de sourcil, elle eut un sourire appréciateur pour l'efficacité de ses jeunes compagnons... qui avaient pris de l'assurance !
Aidant à débarder le matériel*, elle fit remarquer :
« Fouille le corps avant de t'en débarrasser, batyù...
Bravo de l'avoir pris par surprise, ce planton !
Faut aller vérifier qu'il n'y'en a pas d'autres là d'où il sortait, cet hextorrien... »


*(ou la mule Broutefleur si elle a pu être descendue...)

Doronga regarda ses amis et ensuite vers le bassin… «  Nous pouvoir le mettre dans le bassin mais peut-être cela alimenter Dieu du mal pour donner pouvoirs.

Nővére toi pas pouvoir faire disparaître corps ? Où alors nous le cacher sur face de élévateur pour que lui pas for vu ?

Sinon nous pouvoir le mettre près du sac de viande moisie. Après nous avancer mais par où ? Par porte étrange où alors nous garder cela pour la fin afin de pas être pris à revers ?  »

Modifié par un utilisateur jeudi 22 juin 2017 09:55:07(UTC)  | Raison: Non indiquée

Méliane, avec une moue suspicieuse, murmure une incantation* pour examiner l'étrange bassin sans reflet...
Quel genre de maléfice se cache en ses eaux noires ?...

*Détection de la magie et

• ArtdelaMagieMeliane : 1d20+9 donne [7] + 9 = 16

Modifié par un utilisateur lundi 19 juin 2017 19:06:48(UTC)  | Raison: Non indiquée

Méliane retrouva son sourire et écarta les mains en s'inclinant vers ses compagnons, leur laissant le choix. Ambroise parlait de la porte sans ornements, et cela lui allait très bien... comme toute autre, en l'absence actuelle de données complémentaires.
Elle resterait en arrière*...

* tirant les les rênes de Broutefleur, maintenant chargée des trouvailles d'Ambroise (celles qu'il avait partagées...)

Modifié par un utilisateur mardi 20 juin 2017 00:10:19(UTC)  | Raison: Non indiquée

"Vu que cette clef ciselé était en possession d'un serviteur du Fléau de Guerre ... autant aller vers la porte concernée non ?"

Suite à la remarque bien placé du sage Gordreth, vous vous avancez vers la porte à priori donnant vers une partie du complexe en lien avec Hextor, le Fléau de Guerre. Doronga n'entend aucun bruit et la porte s'ouvre sans problème, donnant vers un passage large de 3 mètre. La maçonnerie est impeccable et pas un grain de poussière ne peut être trouvé. Ainsi, il est impossible de dire si le passage est fréquemment emprunté.
Le couloir est plongé dans les ténèbres et vous utilisez un sort de lumière pour avancer. Une quinzaine de mètres plus loin, le passage donne sur une autre porte similaire à la première. Doronga l'inspecte mais ne trouve rien, de même qu'il n'entend pas plus de choses derrière celle-ci. Vous l'ouvrez aussi discrètement que possible et cela donne vers une pièce d'environ 15 mètres sur 6, elle aussi plongée dans les ténèbres. À peine avez vous le temps de vous avancer qu'une demi-douzaine ou plus de squelettes se relèvent du sol où ils étaient allongés. Des petites cloches en bronze sont attachées aux jointures de leurs armures et au fourreau de leurs armes. Le boucan que ça fait résonne dans les couloirs d'un complexe à priori profond. Les squelettes se jettent sur vous, alors qu'un garde tieffelin sort d'une pièce sur votre droite. À peine vous voit-il qu'il se met à courir plus loin dans le complexe, se perdant dans les ténèbres qui ne le dérange aucunement. Des cris et des coups sourds se fond entendre.

Malgré la peur qui vous saisit, Gordreth réagit rapidement et d'une canalisation venant tout droit de Pélor parvient à éradiquer rapidement tous les squelettes avant que quelqu'un soit blessé.

Sur votre gauche, une source de lumière éclaire une pièce carré avec de nombreux matelas et autre couchages. Tous sont vides pour le moment, mais la pièce peut peut-être accueillir une douzaine d'humanoïdes. Sur la droite, une salle de garde comporte deux couchages et une table en bois avec des chaises.

Devant vous se trouve un long couloir bordé d'une double porte renforcée sur la gauche et d'une porte simple sur la droite. Plus loin, à une vingtaine de mètres environ, vous discernez une grande pièce largement illuminée, et en particulier une statue d'environ 3 mètres de haut dépeignant un humanoïde extrêmement musclé avec six bras, tenant respectivement un fléau à pointes, une hache de bataille, un pic de guerre, une épée longue, une masse lourde et un falchion : Hextor.

Le premier réflexe d'Amboise fut d'intercepter le garde mais il était déjà parti au fin fond des ombres du complexe. Inutile de courir sans lumière pour le guider.

« Tu n'y pouvais rien Doronga. Il devait y avoir un code ou quelque chose du genre que nous ignorions pour éviter le réveil des squelettes »

« Il faut croire que nous devrons combattre sans avantage,

à part nos qualités naturelles, bien entendu. » rajouta t-il en se tournant ses fines moustaches

« En tout cas, vu la rapidité du garde, le couloir ne doit pas être piégé » et le bretteur avança d'un pas souple et alerte vers la statue, s’arrêtant à la première porte pour y écouter

La pièce lancée par Gordreth éclaire faiblement, mais suffisamment, le couloir. Le temple, car c'est manifestement un temple, au bout du couloir est éclairé par de nombreuses torches. La porte sur votre gauche, une large double porte en chêne, est fermé. Lorsqu'Ambroise écoute, il entend un fort ronflement ou grognement, largement atténué par l'épaisse porte. De l'autre côté, la simple porte ne donne rien de spécial. Tout au plus a-t-il l'impression d'entendre des voix étouffées, mais il n'en est pas sûr.

Comme l'a deviné Ambroise, ni le couloir ni les portes sont piégées.

« Des grognements par là ! Je propose que l'on s'occupe de cette porte » dit Ambroise en montrant l'autre porte d'où il pensait avoir entendu des voix

Il attendit que tous se mette en place ou que l'un de ses compagnons décide d'une autre tactique, avant d'ouvrir la porte et de se précipiter à l'intérieur.