Lorsque Tim parle du fait qu'incanter signerai l'arrêt de mort de l'elfe, je m'avance d'un pas en dégainant mon épée. Je le regarde, l'air sévère, pour l'intimider et être sûr qu'il n'incantera pas.

• Intimidation : 1d20+6 donne [9] + 6 = 15

Je jette un œil en direction de mon camarade et annonce
« Marché conclut!Ce fut un plaisir de faire affaire avec vous! Je suis sur que nous nous reverrons bientôt! »
J’échange le paquet contre des espèces sonnantes et trébuchantes et nous nous mettons a nouveau en route vers le bureau des chasseurs de primes
« Il serait de bon ton de trouver un joaillier... Je ne suis pas sur que cette ville en dispose mais gardons l’œil ouvert. Je te laisse discuter avec les chasseurs de primes, je suis plus habitué a commander ces affiches qu'a en chasser les protagonistes! »

Au fur et à mesure que Tim parlait, je traduisis ses paroles au prisonnier. Voyant qu'il semblait d'accord, je m'approchais de lui et lui retire son bâillon.

Je pouvais sentir la présence de la barbare dans mon dos et pour une fois, cela me rassura. Je rajoutai à l'elfe

« Parle lentement afin qu'il n'imagine pas que tu invoques les arcanes. Je suis ton alliée et je ferais ce qu'il faut pour que tu soit libéré »

J'attendais que l'elfe ait terminé de parler pour le tourner vers Tim

« Il comprend notre langage mais préfére répondre en elfe afin d'éviter une mauvaise comprehension, comme nous nous en doutions, il y a une mauvaise comprehension, voici son histoire :
Il y a environ un mois, les orques à l'ouest ont commencé à attaquer nos chasseurs, jusqu'à maintenant ils étaient désorganisés et n'ont jamais représenté un vrai danger... Je ne connais pas tous les détails mais ce que je sais c'est qu'ils sont désormais un vrai danger. Ils nous ont poussés à abandonner nos campements à l'ouest et avancer vers l'est...
C'est alors que les humains ont commencé à nous attaquer. Des chasseurs un jour, un petit campement le lendemain, des ceuilleurs et des récolteurs le jour d'après...Nous avons tenté d'éviter les humains mais ils semblaient toujours trouver des cibles... La semaine dernière mon village en a eu assez et a décidé de passer à l'offensive, nous avons donc attaqué une patrouille humaine et les combats se sont poursuivis depuis. J'ai réussi à faire entendre la voix de la raison à nos chefs et ils m'ont autorisé à venir négocier un apaisement de la situation. Je me suis fait attaqué par derrière en arrivant et vos connaissez la suite... »

Je laissais un petit moment pour que Tim réfléchisse et je donnai le fond de ma pensée :

« Il semblerait que les orques soient parvenus à faire des villageois et les elfes des ennemis. Je suis persuadé que les attaques contre les fermes et les scieries des villageois sont d'origines orques mais que les villageois ont cru que c'étaient les elfes. Les villageois se sont vengés sur les mauvais ennemis et les elfes se sont emportés dans le conflit.
Il faudra que chacun fasse un effort pour une reconciliation et lutter contre les orques d'un meme front. »

Je regardais également l'elfe sachant qu'il me comprenait parfaitement.

Juan arrive à la maison indiquée et frappe à la porte. Aucune réponse n’arrive. Il patiente quelques instants et essaye encore plus fort. Les volets s’ouvrent soudain.
Un vieil homme aux cheveux ébouriffés sort alors la tête et hurle :
« Ca ne va pas de réveiller les gens aussi tôt ?! Repassez quand il fera jour ! »
Il grimace et ferme les yeux, comme si ses propres cris lui causaient une migraine terrible. Après quelques instants lève les yeux et se rend compte qu’il fait grand jour. Il reprend en chuchotant presque :
« Nous sommes fermés pour l’instant, repassez à une heure raisonnable… »

Hugo et Zszaufeiin trouvent le bureau des chasseurs de primes sans aucun problème, une grande enseigne rutilante indiquant un stylisé « Les Tirailleurs » trône au-dessus de la porte. Il n’y a pas de garde et la porte est ouverte, aussi les deux aventuriers entrent-ils sans plus de cérémonie. A l’intérieur un homme dans la trentaine à l’air martial est en train d’écrire une lettre. En voyant le drow et le tieffelin entrer, il se lève d’un bond et porte la main à son arme, faisant au passage tomber sa plume par terre.
« Plus un pas démons ! La garde est peut-être moins présente mais je sais encore me servir de ça ! »
Il dégaine et poursuit d’un ton assuré
« Partez maintenant et vous aurez la vie sauve… »

L’elfe dévisage Tim puis se tourne vers Snirff :
«  দৈত্যাদিসংক্রান্ত? কোন ... আমার মনে হয় আমার গ্রামের কাউন্সিলকে কিছু খেয়াল করতাম ... তুমি মনে করো সে কিছু একটা করতে যাচ্ছে? এটা সত্য যে এই মানুষের অভ্যাস পরী আক্রমণ করার জন্য কিংবা orcas দৌড় ধরনের পরিকল্পনা করতে যে নেই, কিন্তু আমি বিশ্বাস করি না যে ভূতদের কর্মক্ষেত্রে ...  »
Il boit une nouvelle gorgée, plus doucement cette fois, et reprend :
«  ই ঘটুক না কেন, আপনি ধারণা অনেক মত আমার দিকে তাকাও. তুমি আমাকে ছেড়ে দিন এবং আমার গ্রামে আমাকে সংসর্গে হবে কাউন্সিল Alduir, যুক্তি করার অন্য শান্তিবাদী এক সম্প্রতি অসুস্থ হয়ে পড়েন এবং আমি আশঙ্কা করি যে, পরিস্থিতি পূর্ণ গতি বেড়ে উঠা  »

Face à la franche menace du soldat Hugo ne pus s'empêcher de rigoler.
« C'est ce que j'appel un accueil chaleureux dis donc ! »
Croisant les bras sur sa poitrine pour bien montrer qu'il n'était pas impressionné le tiefflin poursuivit:
« Je suis partant pour un petit combat d'entrainement si vous le souhaitez mais nous ne sommes en aucun cas ici pour semer le drame ou verser le sang d'honnêtes gens. Nous sommes arrivés hier en escortant le seigneur Tharn et avons choisit de solutionner quelques soucis que le village rencontre avant de le retrouver. Nous sommes les invités du commandant Barn. »
Désignant le dehors il continua:
« Souhaitez vous vraiment que nous nous donnions en spectacle ou pouvons nous discuter entre personnes civilisé ? mercenaire ... »
Malgré une décontraction apparente Hugo se tenait prêt à user de ses talents en cas d'agressivité accentuer de l'humain.

Modifié par un modérateur mardi 13 septembre 2016 23:06:10(UTC)  | Raison: Non indiquée

J'écoutai attentivement le discours de l'elfe, qui avait décidé de parler dans sa langue natale pour éviter les erreurs d'interprétation. C'est sûr qu'il n'est pas possible de faire des erreurs de traduction...
« Le fait que des orques soient agressifs ou belliqueux n'a rien de surprenant. Moi et ma tribu avons du en combattre plusieurs fois, et ils ont du sentir une faiblesse chez les elfes pour tenter leur chance comme cela. Le fait que les elfes aient dû bouger leur campement en est une preuve. Les humains ont cru que les elfes en voulaient à leurs terres et ont naturellement voulu le défendre... »

Je levai l'index.

«  J'ai cependant deux questions.
La première, peut-on demander la version des gardes qui ont eu le contact avec avant de le capturer ?
Et la deuxième, c'est pourquoi envoyer un émissaire qui parle notre langue mais qui ne veut pas la parler de peur d'être mal compris ? Il me semble très curieux qu'un émissaire qui parle à priori parfaitement la langue demande à être interprété dans sa propre langue... A moins que tout cela ne soit que baliverne ? »

Disant cela, j'observe l'elfe, mais également Snirff, pour savoir si quelque chose cloche.

• Psychologie : 1d20 donne [13] = 13

Modifié par un utilisateur mardi 13 septembre 2016 20:13:50(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le mercenaire écoute le drow et le tieffelin avec un visage impassible. Il ne semble pas effrayé mais n’a visiblement pas envie d’en découdre non plus. Il rengaine sa lame et annonce
« Les invités du seigneur Tharn… Je vais choisir de vous faire confiance, sa réputation le précède et s’il a jugé bon de vous escorter jusqu’ici…Vous comprendrez que ce n’est pas tous les jours que l’on voit des gens de votre… espèce. Encore moins avec des intentions pacifiques… »
Il semble se détendre légèrement, il se rassoit et indique les deux sièges en face de son bureau
« Que puis-je faire pour vous ? Vous venez récupérer une prime ? »

L’elfe semble à nouveau se mettre en colère en écoutant Crysania
«  সঠিকভাবে অনূদিত, ইঁদুর মানুষ! আমি বললাম যে আমি বা আরো কম প্রচলিত ভাষা বুঝতে কিন্তু তার শব্দসমূহ খুব আদিম আমাকে এটা সঠিকভাবে উচ্চারণ জন্য ছিল!  »
Il se calme à nouveau et poursuit
«  দুঃখিত আমি প্রান্ত উপর একটু ... আমি এসেছি করছি শুধুমাত্র কারণ আমরা শান্তি প্রচার যাও ... তিন সঠিক হতে সামান্য পরামর্শ আছে, আমার বন্ধু Alduir আগে আমরা কাউন্সিল রাজি হঠাৎ অসুস্থ হয়ে পড়েন এবং পরেরটির বয়সী এবং না গম্ভীরভাবে গ্রামে আসে. তারা যুদ্ধের আগে যুক্তির শেষ অঙ্কে, আমাকে এখানে আসতে সাফল্যের সম্ভাবনাকে বিশ্বাসী না দেয়া  »

Modifié par un utilisateur mardi 13 septembre 2016 23:22:13(UTC)  | Raison: Non indiquée